ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
09/02/2011
Un astéroïde frôlera la Terre mercredi
2011 CA7, un astéroïde de 2,3 à 5,1 mètres de diamètre, passera près de la Terre mercredi à 17:30 GMT , annonce l'agence spatiale américaine (NASA).
L'astéroïde, qui ne sera pas visible à l'œil nu, passera à 93.600 km de la planète bleue à une vitesse d'environ 9,6 km par seconde.
Vendredi, un autre astéroïde, 2011 CQ1 d'environ 1 mètre de diamètre, est passé à proximité de la Terre.
Selon les astronomes, des astéroïdes d'un mètre de diamètre entrent dans l'atmosphère terrestre plusieurs fois par année et s'y consument totalement.
http://fr.rian.ru/science/20110209/188574749.html
Un astéroïde frôlera la Terre mercredi
2011 CA7, un astéroïde de 2,3 à 5,1 mètres de diamètre, passera près de la Terre mercredi à 17:30 GMT , annonce l'agence spatiale américaine (NASA).
L'astéroïde, qui ne sera pas visible à l'œil nu, passera à 93.600 km de la planète bleue à une vitesse d'environ 9,6 km par seconde.
Vendredi, un autre astéroïde, 2011 CQ1 d'environ 1 mètre de diamètre, est passé à proximité de la Terre.
Selon les astronomes, des astéroïdes d'un mètre de diamètre entrent dans l'atmosphère terrestre plusieurs fois par année et s'y consument totalement.
http://fr.rian.ru/science/20110209/188574749.html
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
au nom de l'énergie j'appose ma main sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix en l'énergie nous conduisent a l'harmonie
________________________________________________________________________________________
A la Une > Tunisie
Moi, Ahmed, 27 ans, torturé dans les geôles de Ben Ali
Blouson en cuir, keffieh autour du cou et casquette vissée sur le crâne, Ahmed arpente, avec Safouane et Hamed, les rues de la cité Ettadhamen, une banlieue populaire du nord de Tunis. Tous trois ont connu la même enfance simple au sein d'une famille ouvrière de ce quartier miséreux où se sont entassés des dizaines de milliers de Tunisiens venus chercher un emploi. Tous trois partagent une même foi et une pratique rigoriste de l'islam... qui les a conduits dans les geôles de Ben Ali.
Ahmed, 27 ans, est le dernier des trois à en être sorti. Lundi 31 janvier, il a bénéficié de l'amnistie décrétée à l'égard des prisonniers politiques par le gouvernement de transition. Après trois ans et huit mois d'emprisonnement, Ahmed est libre, mais porte les marques des sévices subis en détention.
Le jeune homme s'exprime péniblement. Il souffre de troubles de la parole. Son histoire commence le 20 mai 2007, un dimanche, à midi trente. Il est à la maison avec ses parents et ses deux frères. Trois 4×4 déboulent en trombe dans la rue. Une dizaine de policiers politiques en sortent et l'appellent. Il est embarqué manu militari, sans que sa famille n'ait eu le temps de comprendre. "Pendant vingt-sept jours, on n'a eu aucune nouvelle d'Ahmed. On est allé à la police, au ministère de l'intérieur, personne ne nous disait rien", se souvient son frère Nizar
LA CHASSE AUX ISLAMISTES
Pendant vingt-sept jours, Ahmed est détenu au secret dans les geôles du ministère de l'intérieur, avenue Habib-Bourguiba, à Tunis. Une cellule d'un mètre sur deux, au sous-sol, éclairée jour et nuit pour lui ôter toute notion du temps. Il est questionné chaque jour, pendant des heures. Toujours les mêmes questions : "Fais-tu la prière ? Depuis quand ? Dans quelle mosquée ? Combien de fois par jour ? Combien de temps ? De quelle manière ? Avec qui ? Qui prie dans ta famille ?"
Le président Ben Ali a fait, à partir de 1990, la chasse aux islamistes. Ses polices spéciales ont redoublé d'efforts depuis les attentats du 11 septembre 2001 et le vote de la loi antiterroriste de 2003. La cité Ettadhamen est une cible de choix : quelques salafistes djihadistes prêts à s'engager pour la cause irakienne y sont implantés. Les jeunes pratiquants rigoristes comme Ahmed, qui prient cinq fois par jour à la mosquée, sont surveillés de près.
Quelque 2 000 islamistes présumés ont été arrêtés depuis 2003. "Parmi eux, certains se contentaient de faire la prière, de discuter, de regarder des sites Internet. Certains discutaient de la nécessité de soutenir les Irakiens. D'autres, peu nombreux, essayaient de partir. Mais, dans les dossiers, nous n'avons retrouvé aucune preuve de la préparation d'attentats", explique Radhia Nasraoui, avocate et présidente de l'Association de lutte contre la torture en Tunisie (ALTT). Ahmed, lui, se dit pratiquant, pas militant. Il a peut-être cotoyé d'un peu trop près ces réseaux : son nom a été donné à la police par un autre jeune arrêté plus tôt.
TROIS À QUATRE HEURES DE TORTURES QUOTIDIENNES
Au ministère de l'intérieur, Ahmed est soumis quotidiennement à des séances de torture de plusieurs heures. Un médecin encadre les quatre tortionnaires pour s'assurer que le supplicié ne leur claque pas entre les doigts. Deux techniques sont privilégiées : celle du "bano", où l'on plonge la tête du détenu dans une bassine remplie d'eau et de produits chimiques ; et celle, à la fois humiliante et violente, du "poulet rôti". Nus et cagoulés, les détenus sont suspendus à un axe par les bras et les jambes, ils sont balancés la tête en bas pendant des heures, frappés à coups de bâtons et soumis à des décharges électriques derrière les oreilles, sous les aisselles et sur les testicules.
Après vingt-sept jours, le jeune homme est finalement transféré à la prison de Mornaguia, au sud-ouest de Tunis, où il est détenu pendant un an sans procès. Il réussit à avertir sa famille par le biais d'un codétenu libéré. Pendant un an, celle-ci est harcelée par la police politique, qui vient fouiller la maison presque chaque semaine, au milieu de la nuit. Les policiers vont jusqu'à chercher au lycée Sofiane, le plus jeune frère d'Ahmed, et empêchent Nizar, son autre frère, professeur de sport diplômé, de travailler. Plus personne ne leur parle, ni famille ni voisins, par peur de la police.
UN PROCÈS EXPÉDITIF
Lors de son procès, un avocat est commis d'office à Ahmed. Ni lui ni sa famille ne le rencontreront. "Les autorités n'ont apporté aucune preuve au procès, elles n'en avaient pas besoin : l'audience a duré quelques minutes et le juge l'a condamné pour appartenance à un réseau terroriste", relate Nizar. On joint au dossier les aveux faits au ministère de l'intérieur. "Ils nous ont fait signer une feuille blanche, explique Ahmed, si on ne signait pas, on était torturés". Le jeune homme est condamné à quatre ans de prison, assortis de cinq ans de contrôle administratif.
Ahmed va passer une partie de ses années de prison en isolement, où on le soumet à de nouveaux sévices. Il lui est interdit d'adresser la parole aux prisonniers "non terroristes". L'heure de promenade quotidienne est sa seule occupation. Une fois par mois, un membre de sa famille lui rend visite. Dix à quinze minutes, derrière une vitre. "Ça m'a rendue malade de le savoir en prison, mais en même temps, j'étais fière, parce qu'il était emprisonné pour sa religion, pas parce qu'il avait commis un crime", confie sa mère Rebeh, des sanglots dans la voix.
"SI JE VAIS À LA MOSQUÉE, JE SERAI EMPRISONNÉ"
La révolution tunisienne a offert à Ahmed un avant-goût de liberté. Le 16 janvier, les autorités carcérales de Borj el-Amri laissent les détenus s'enfuir. Ahmed retourne auprès de sa famille, pour quelques jours, avant d'obtempérer à l'appel à la reddition lancé par le ministre de la justice. "Il ne lui restait que quatre mois avant sa libération légale, donc on l'a ramené le 21 janvier pour qu'il effectue sa peine et soit légalement libre", explique sa mère. A son retour en prison, le directeur l'accuse d'évasion et le torture, signe du maintien du régime Ben Ali bien après sa fuite.
Ahmed a aujourd'hui retrouvé d'autres compagnons d'infortune, libérés avant lui. Il veut porter son cas devant la justice pour que ses bourreaux soient jugés. Toujours sous le coup d'un contrôle administratif, il doit chaque jour signaler sa présence au poste de police. Les mêmes agents, déjà en place sous Ben Ali, l'y accueillent. Ils ne le harcèlent plus mais le jaugent d'un œil menaçant. C'est l'heure de la prière, Ahmed se presse chez son ami Safouane. Plus question d'aller à la mosquée. "Si je vais à la mosquée, je serai emprisonné".
Hélène Sallon
http://www.lemonde.fr/tunisie/article/2 ... r=RSS-3208
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix en l'énergie nous conduisent a l'harmonie
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A la Une > Tunisie
Moi, Ahmed, 27 ans, torturé dans les geôles de Ben Ali
Blouson en cuir, keffieh autour du cou et casquette vissée sur le crâne, Ahmed arpente, avec Safouane et Hamed, les rues de la cité Ettadhamen, une banlieue populaire du nord de Tunis. Tous trois ont connu la même enfance simple au sein d'une famille ouvrière de ce quartier miséreux où se sont entassés des dizaines de milliers de Tunisiens venus chercher un emploi. Tous trois partagent une même foi et une pratique rigoriste de l'islam... qui les a conduits dans les geôles de Ben Ali.
Ahmed, 27 ans, est le dernier des trois à en être sorti. Lundi 31 janvier, il a bénéficié de l'amnistie décrétée à l'égard des prisonniers politiques par le gouvernement de transition. Après trois ans et huit mois d'emprisonnement, Ahmed est libre, mais porte les marques des sévices subis en détention.
Le jeune homme s'exprime péniblement. Il souffre de troubles de la parole. Son histoire commence le 20 mai 2007, un dimanche, à midi trente. Il est à la maison avec ses parents et ses deux frères. Trois 4×4 déboulent en trombe dans la rue. Une dizaine de policiers politiques en sortent et l'appellent. Il est embarqué manu militari, sans que sa famille n'ait eu le temps de comprendre. "Pendant vingt-sept jours, on n'a eu aucune nouvelle d'Ahmed. On est allé à la police, au ministère de l'intérieur, personne ne nous disait rien", se souvient son frère Nizar
LA CHASSE AUX ISLAMISTES
Pendant vingt-sept jours, Ahmed est détenu au secret dans les geôles du ministère de l'intérieur, avenue Habib-Bourguiba, à Tunis. Une cellule d'un mètre sur deux, au sous-sol, éclairée jour et nuit pour lui ôter toute notion du temps. Il est questionné chaque jour, pendant des heures. Toujours les mêmes questions : "Fais-tu la prière ? Depuis quand ? Dans quelle mosquée ? Combien de fois par jour ? Combien de temps ? De quelle manière ? Avec qui ? Qui prie dans ta famille ?"
Le président Ben Ali a fait, à partir de 1990, la chasse aux islamistes. Ses polices spéciales ont redoublé d'efforts depuis les attentats du 11 septembre 2001 et le vote de la loi antiterroriste de 2003. La cité Ettadhamen est une cible de choix : quelques salafistes djihadistes prêts à s'engager pour la cause irakienne y sont implantés. Les jeunes pratiquants rigoristes comme Ahmed, qui prient cinq fois par jour à la mosquée, sont surveillés de près.
Quelque 2 000 islamistes présumés ont été arrêtés depuis 2003. "Parmi eux, certains se contentaient de faire la prière, de discuter, de regarder des sites Internet. Certains discutaient de la nécessité de soutenir les Irakiens. D'autres, peu nombreux, essayaient de partir. Mais, dans les dossiers, nous n'avons retrouvé aucune preuve de la préparation d'attentats", explique Radhia Nasraoui, avocate et présidente de l'Association de lutte contre la torture en Tunisie (ALTT). Ahmed, lui, se dit pratiquant, pas militant. Il a peut-être cotoyé d'un peu trop près ces réseaux : son nom a été donné à la police par un autre jeune arrêté plus tôt.
TROIS À QUATRE HEURES DE TORTURES QUOTIDIENNES
Au ministère de l'intérieur, Ahmed est soumis quotidiennement à des séances de torture de plusieurs heures. Un médecin encadre les quatre tortionnaires pour s'assurer que le supplicié ne leur claque pas entre les doigts. Deux techniques sont privilégiées : celle du "bano", où l'on plonge la tête du détenu dans une bassine remplie d'eau et de produits chimiques ; et celle, à la fois humiliante et violente, du "poulet rôti". Nus et cagoulés, les détenus sont suspendus à un axe par les bras et les jambes, ils sont balancés la tête en bas pendant des heures, frappés à coups de bâtons et soumis à des décharges électriques derrière les oreilles, sous les aisselles et sur les testicules.
Après vingt-sept jours, le jeune homme est finalement transféré à la prison de Mornaguia, au sud-ouest de Tunis, où il est détenu pendant un an sans procès. Il réussit à avertir sa famille par le biais d'un codétenu libéré. Pendant un an, celle-ci est harcelée par la police politique, qui vient fouiller la maison presque chaque semaine, au milieu de la nuit. Les policiers vont jusqu'à chercher au lycée Sofiane, le plus jeune frère d'Ahmed, et empêchent Nizar, son autre frère, professeur de sport diplômé, de travailler. Plus personne ne leur parle, ni famille ni voisins, par peur de la police.
UN PROCÈS EXPÉDITIF
Lors de son procès, un avocat est commis d'office à Ahmed. Ni lui ni sa famille ne le rencontreront. "Les autorités n'ont apporté aucune preuve au procès, elles n'en avaient pas besoin : l'audience a duré quelques minutes et le juge l'a condamné pour appartenance à un réseau terroriste", relate Nizar. On joint au dossier les aveux faits au ministère de l'intérieur. "Ils nous ont fait signer une feuille blanche, explique Ahmed, si on ne signait pas, on était torturés". Le jeune homme est condamné à quatre ans de prison, assortis de cinq ans de contrôle administratif.
Ahmed va passer une partie de ses années de prison en isolement, où on le soumet à de nouveaux sévices. Il lui est interdit d'adresser la parole aux prisonniers "non terroristes". L'heure de promenade quotidienne est sa seule occupation. Une fois par mois, un membre de sa famille lui rend visite. Dix à quinze minutes, derrière une vitre. "Ça m'a rendue malade de le savoir en prison, mais en même temps, j'étais fière, parce qu'il était emprisonné pour sa religion, pas parce qu'il avait commis un crime", confie sa mère Rebeh, des sanglots dans la voix.
"SI JE VAIS À LA MOSQUÉE, JE SERAI EMPRISONNÉ"
La révolution tunisienne a offert à Ahmed un avant-goût de liberté. Le 16 janvier, les autorités carcérales de Borj el-Amri laissent les détenus s'enfuir. Ahmed retourne auprès de sa famille, pour quelques jours, avant d'obtempérer à l'appel à la reddition lancé par le ministre de la justice. "Il ne lui restait que quatre mois avant sa libération légale, donc on l'a ramené le 21 janvier pour qu'il effectue sa peine et soit légalement libre", explique sa mère. A son retour en prison, le directeur l'accuse d'évasion et le torture, signe du maintien du régime Ben Ali bien après sa fuite.
Ahmed a aujourd'hui retrouvé d'autres compagnons d'infortune, libérés avant lui. Il veut porter son cas devant la justice pour que ses bourreaux soient jugés. Toujours sous le coup d'un contrôle administratif, il doit chaque jour signaler sa présence au poste de police. Les mêmes agents, déjà en place sous Ben Ali, l'y accueillent. Ils ne le harcèlent plus mais le jaugent d'un œil menaçant. C'est l'heure de la prière, Ahmed se presse chez son ami Safouane. Plus question d'aller à la mosquée. "Si je vais à la mosquée, je serai emprisonné".
Hélène Sallon
http://www.lemonde.fr/tunisie/article/2 ... r=RSS-3208
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE

Jeudi 3 février 2011
Des extraterrestres «incognito» en Chine
Un ancien membre du cabinet du ministère des Affaires Etrangères chinois et président du l'Organisation chinoise de recherche des ovnis, a annoncé que des extraterrestres vivraient incognito au milieu de la population mondiale. Une assertion, relayée par un journal canadien, qui révèle l'intérêt des scientifiques de Pékin pour tout ce qui touche les aliens.
La déclaration de Sun Shili vient notamment corroborer la récente tendance à la chasse aux ovnis en Chine. Des associations surveillant la présence de vie extraterrestre réuniraient officiellement 50.000 passionnés. Un sujet qui pourrait en fait intéresser plusieurs millions de citoyens chinois.
Cette soudaine fascination s'expliquerait par la perte des repères que la fin du marxisme a entraîné. Une dilution des traditions qui laisserait s'exprimer de nombreux partisans de la théorie de Sun, professeur à la retraite et membre de la délégation internationale —composée de 21 membres— chargée de rencontrer les aliens si ces derniers posent un pied sur Terre.
Cet ancien traducteur espagnol de Mao Zedong est persuadé que plusieurs extraterresstres vivent déjà parmi les hommes, disséminant des informations:
«80% des nouvelles inventions viennent des rêves de leurs inventeurs. Peut être que c'est un moyen utilisé par les aliens pour communiquer leur savoir. S'ils nous le donnaient d'un coup, nous ne serions pas capables de le gérer.»
Des scientifiques chinois, comme Shen Shituan, membre de l'Université d'aéronautique et d'astronautique de Pékin, soutiennent ces théories. En octobre 2010, un aéroport en Mongolie Intérieure avait été fermé pendant plus d'une heure. Les contrôleurs de trafic aérien avaient cru voir un OVNI sur leur radar près des pistes d'atterrissage.
Plusieurs vols avaient ainsi du être redirigés vers Baotou. L'alerte a été déclenchée après qu'un objet brillant aux mouvements erratiques ait été repéré dans le ciel par des témoins et par le Bureau du Trafic Aérien sur des radars sophistiqués. Au bout d'une heure, les lumières ont disparu et les avions ont été autorisés à atterrir à nouveau.
Le gouvernement chinois a longtemps tenté d'infirmer l'existence d'objets volants non-identifié en déclarant systématiquement que des exercices militaires étaient à l'origine des témoignages. Les autorités sont néanmoins restées muettes après cet incident. A l'été 2010, un OVNI avait aussi entraîné la fermeture pendant quelques heures d'un aéroport dans le Hangzhou. Depuis juin 2010, il y a eu une dizaine de rapports officiels concernant des OVNIS en Chine.
http://www.slate.fr/lien/33645/des-extr ... o-en-chine
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
02/02/2011
L'Occident doit réapprendre à promouvoir la démocratie
Les démocraties occidentales ont trop longtemps négligé, au delà de leurs frontières, ce pourquoi elles existent: la démocratie. Il leur faut donc sans plus attendre changer leur fusil d'épaule vis-à-vis du monde arabe.
Ce qui se passe en Egypte, après ce qui est advenu en Tunisie, nous renvoie à une très vieille question, avec laquelle nous vivons depuis la révolution hongroise de 1956, au moins: les démocraties doivent-elles intervenir pour aider un peuple qui se bat contre une dictature ?
La réponse fut alors négative. Depuis, les démocraties ne sont intervenues nulle part: ni en Iran quand une révolution fut détournée par des mollahs, ni en Chine quand une autre fut écrasée sous les chars, ni dans aucun pays d'Afrique ou d'Amérique latine. Et c'est parce que Gorbatchev a décidé de ne plus tirer sur les foules que le système soviétique s'est effondré.
Au contraire, les démocraties ont continué à financer ces régimes, à former leurs polices, à recevoir les dictateurs, sans exiger d'eux qu'ils réduisent la pauvreté, luttent contre la corruption ou respectent les droits de l'homme. De même, aucune institution internationale n'a mis une réelle condition démocratique à son soutien.
Comment s'étonner que les peuples se retournent contre les démocraties qui les ont négligés ?
La situation se reproduit aujourd'hui en Tunisie et en Egypte, où s'expriment des peuples magnifiques. On la retrouvera de plus en plus souvent, de plus en plus vite, dans la moitié du monde encore sous le contrôle de dictatures, aux contours divers : certaines se camouflent en démocraties, d'autres sont ouvertement des régimes totalitaires. A l'inverse, certaines démocraties évoluent vers des régimes totalitaires, et certains régimes totalitaires évoluent à leur rythme vers la démocratie.
Pourtant, les démocraties ne sont jamais là pour soutenir ceux qui tentent d'accélérer ce que promet l'Histoire. Avec toujours de bonnes raisons : la stabilité, le refus des fondamentalismes, la non-ingérence ; et le fait qu'aucune démocratie n'a de vraie leçon à donner, car nulle ne respecte intégralement la Déclaration universelle des droits de l'homme, écrite en 1948 par Eleonore Roosevelt et René Cassin. Comment alors s'étonner que les peuples se retournent contre les démocraties qui les ont négligés ?
Créer un forum international pour la démocratie
Pour soutenir ces transitions, une solution serait de créer une nouvelle institution internationale, regroupant toutes les nations bénéficiant de la démocratie, revendiquant un devoir d'ingérence et se donnant les moyens d'aider à la liberté politique, en fournissant aux peuples soumis des moyens spécifiques pour y appuyer la liberté de la presse, les partis politiques, les associatins, la lutte contre la pauvreté et contre la corruption.
Les embryons d'une telle institution existent. En économie, les démocraties sont rassemblées dans l'OCDE. En matière militaire, dans l'Otan. Même si ce n'était pas, au départ, la raison d'être de ces deux organismes. Leur coordination donnerait les moyens de penser autrement l'action à mener en la matière.
D'autres institutions, privées, se donnent la mission de promouvoir la démocratie : des ONG comme Transparence International. Des fondations, telles celles des anciens présidents américains Jimmy Carter et Bill Clinton, ou celle du financier George Soros. Et surtout d'innombrables ONG dans les pays victimes de la dictature.
Une solution minimale, plus réaliste, serait de créer un forum rassemblant l'ensemble de ces institutions, pour étudier la situation de chaque dictature et réfléchir aux moyens d'offrir un appui cohérent et coordonné à ces peuples dans leur transition vers la démocratie.
Si les démocraties ne vont pas dans cette direction, c'est qu'elles n'ont pas confiance dans leur propre modèle. Elles ne pourront pas, alors, s'étonner que d'autres s'en éloignent.
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/ ... 58143.html
L'Occident doit réapprendre à promouvoir la démocratie
Les démocraties occidentales ont trop longtemps négligé, au delà de leurs frontières, ce pourquoi elles existent: la démocratie. Il leur faut donc sans plus attendre changer leur fusil d'épaule vis-à-vis du monde arabe.
Ce qui se passe en Egypte, après ce qui est advenu en Tunisie, nous renvoie à une très vieille question, avec laquelle nous vivons depuis la révolution hongroise de 1956, au moins: les démocraties doivent-elles intervenir pour aider un peuple qui se bat contre une dictature ?
La réponse fut alors négative. Depuis, les démocraties ne sont intervenues nulle part: ni en Iran quand une révolution fut détournée par des mollahs, ni en Chine quand une autre fut écrasée sous les chars, ni dans aucun pays d'Afrique ou d'Amérique latine. Et c'est parce que Gorbatchev a décidé de ne plus tirer sur les foules que le système soviétique s'est effondré.
Au contraire, les démocraties ont continué à financer ces régimes, à former leurs polices, à recevoir les dictateurs, sans exiger d'eux qu'ils réduisent la pauvreté, luttent contre la corruption ou respectent les droits de l'homme. De même, aucune institution internationale n'a mis une réelle condition démocratique à son soutien.
Comment s'étonner que les peuples se retournent contre les démocraties qui les ont négligés ?
La situation se reproduit aujourd'hui en Tunisie et en Egypte, où s'expriment des peuples magnifiques. On la retrouvera de plus en plus souvent, de plus en plus vite, dans la moitié du monde encore sous le contrôle de dictatures, aux contours divers : certaines se camouflent en démocraties, d'autres sont ouvertement des régimes totalitaires. A l'inverse, certaines démocraties évoluent vers des régimes totalitaires, et certains régimes totalitaires évoluent à leur rythme vers la démocratie.
Pourtant, les démocraties ne sont jamais là pour soutenir ceux qui tentent d'accélérer ce que promet l'Histoire. Avec toujours de bonnes raisons : la stabilité, le refus des fondamentalismes, la non-ingérence ; et le fait qu'aucune démocratie n'a de vraie leçon à donner, car nulle ne respecte intégralement la Déclaration universelle des droits de l'homme, écrite en 1948 par Eleonore Roosevelt et René Cassin. Comment alors s'étonner que les peuples se retournent contre les démocraties qui les ont négligés ?
Créer un forum international pour la démocratie
Pour soutenir ces transitions, une solution serait de créer une nouvelle institution internationale, regroupant toutes les nations bénéficiant de la démocratie, revendiquant un devoir d'ingérence et se donnant les moyens d'aider à la liberté politique, en fournissant aux peuples soumis des moyens spécifiques pour y appuyer la liberté de la presse, les partis politiques, les associatins, la lutte contre la pauvreté et contre la corruption.
Les embryons d'une telle institution existent. En économie, les démocraties sont rassemblées dans l'OCDE. En matière militaire, dans l'Otan. Même si ce n'était pas, au départ, la raison d'être de ces deux organismes. Leur coordination donnerait les moyens de penser autrement l'action à mener en la matière.
D'autres institutions, privées, se donnent la mission de promouvoir la démocratie : des ONG comme Transparence International. Des fondations, telles celles des anciens présidents américains Jimmy Carter et Bill Clinton, ou celle du financier George Soros. Et surtout d'innombrables ONG dans les pays victimes de la dictature.
Une solution minimale, plus réaliste, serait de créer un forum rassemblant l'ensemble de ces institutions, pour étudier la situation de chaque dictature et réfléchir aux moyens d'offrir un appui cohérent et coordonné à ces peuples dans leur transition vers la démocratie.
Si les démocraties ne vont pas dans cette direction, c'est qu'elles n'ont pas confiance dans leur propre modèle. Elles ne pourront pas, alors, s'étonner que d'autres s'en éloignent.
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/ ... 58143.html
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Vendredi 4 février 2011
La diplomatie européenne a besoin d'un reset
Plus que les institutions de l'UE, c'est l'incompréhension profonde des réalités des pays du Sud qui explique la lenteur de la réaction européenne dans les révoltes tunisienne et égyptienne.
Ils sont cinq Européens, chefs d’Etat et de gouvernement, à avoir signé une déclaration appelant à une «transition rapide et ordonnée» en Egypte. Silvio Berlusconi et José Luis Zapatero se sont joints à Angela Merkel, Nicolas Sarkozy et David Cameron, qui s’étaient déjà prononcés dans ce sens trois jours avant.
Il était grand temps que l’Europe se fasse entendre, même si elle apparait à la remorque des Etats-Unis qui, depuis le début de la révolte populaire en Egypte, ont toujours eu une longueur d’avance. Ce décalage tient sans doute aux va-et-vient diplomatiques nécessaires avant que trois puis cinq dirigeants européens tombent d’accord sur un texte commun.
Pas de voix unique
Ce serait plus facile si l’Union européenne était en mesure de parler d’une seule voix. Malgré le traité de Lisbonne, la désignation d’un président «stable» du Conseil européen (Herman van Rompuy) et d’un Haut représentant pour la politique étrangère (Catherine Asthon), ce sont encore les (grands) Etats qui s’expriment sur les questions internationales. Les deux responsables désignés à cet effet sont peu loquaces. Catherine Ashton a tout de même exprimé sa «préoccupation», ce qui est la moindre des choses.
La discrétion européenne a une cause plus profonde. La politique méditerranéenne de l’Europe, que ce soit la politique communautaire, ou celle des Etats membres, notamment de la France, est en lambeaux. Quel que soit le sort d’Hosni Moubarak, Nicolas Sarkozy a perdu son coprésident de l’Union pour la Méditerranée.
Les révoltes populaires en Tunisie et en Egypte montrent que les Européens sont, depuis des années, passés totalement à côté des réalités des pays arabes. L’Union pour la Méditerranée, comme le processus de Barcelone qui l’avait précédée, étaient fondés sur un triptyque trompeur: sécurité-stabilité-développement.
Le prisme de la menace islamiste
Après les attentats du 11 septembre 2001, la situation au sud de la Méditerranée et au Moyen-Orient n’a été vue qu’à travers le prisme de la menace islamiste. Les régimes autoritaires qui promettaient en effet la sécurité et la stabilité, en ont tiré argument pour inciter les dirigeants européens à fermer les yeux sur les violations des droits de l’homme. La répression a été menée, et acceptée, au nom de la lutte contre le fondamentalisme.
Des observateurs et des experts de la région ont souvent attiré l’attention sur d’autres menaces minant la stabilité des régimes arabes autoritaires. L’islamisme était une parmi d’autres, comme l’incurie des Etats à assurer leurs responsabilités en matière de gouvernance et surtout la pauvreté. Les statistiques macro-économiques pouvaient être flatteuses, la croissance satisfaisante, mais la répartition des richesses, l’enrichissement des clans au pouvoir et la corruption privaient la plus grande partie des populations des bienfaits du développement.
Les obsessions occidentales
Ces bombes à retardement ont été ignorées par les dirigeants européens, poursuivis par trois obsessions: l’immigration, l’énergie, le terrorisme. Certes les déclarations sur le respect des droits de l’homme et des valeurs «communes» n’ont pas manqué au cours des dernières années. Mais ce n’était trop souvent que des bonnes paroles sans conséquence.
Le soutien aux sociétés civiles a été trop limité alors que les programmes de coopération un peu sérieux étaient négociés avec les régimes en place, améliorant leur image et aggravant leur capacité répressive. L’idée de conditionnalité entre la coopération économique et le respect des libertés fondamentales, contenue dans les accords de Barcelone, a été le plus souvent laissée de côté. Les partenaires de l’Europe du nord reprochent à la France de porter dans cet «oubli» une large part de responsabilité.
Sous prétexte de non-ingérence et de refus du néocolonialisme, l’Europe a peu aidé les sociétés civiles des pays du sud de la Méditerranée, ce qui ne les a pas empêchées de s’organiser elles-mêmes. Mais l’Europe a ainsi perdu l’occasion d’établir sur de nouvelles bases des relations avec ces peuples.
Qui va payer?
Dans la situation nouvelle créée par les révoltes en Tunisie et en Egypte, il faut inventer pour les relations nord-sud un autre «logiciel» (selon l’expression de l’opposant tunisien Kamel Jendoubi). Le «statut avancé» que l’UE voulait octroyer à la Tunisie de Ben Ali avec le soutien appuyé de la France, est dépassé. Il faut une aide massive, décentralisée, car la démocratie, si elle installe, ne réglera pas du jour au lendemain, le sort des jeunes chômeurs.
L’Europe ne pourra plus plaider pour la libre circulation des biens et des services et continuer à élever des obstacles à la libre circulation des hommes. Certains parlent déjà d’un plan Marshall, comme celui accordé aux Américains aux Européens après 1945. Mais qui paiera en ces temps de crise économique et de déficits budgétaires? La Chine?
http://www.slate.fr/story/33683/egypte- ... europeenne
La diplomatie européenne a besoin d'un reset
Plus que les institutions de l'UE, c'est l'incompréhension profonde des réalités des pays du Sud qui explique la lenteur de la réaction européenne dans les révoltes tunisienne et égyptienne.
Ils sont cinq Européens, chefs d’Etat et de gouvernement, à avoir signé une déclaration appelant à une «transition rapide et ordonnée» en Egypte. Silvio Berlusconi et José Luis Zapatero se sont joints à Angela Merkel, Nicolas Sarkozy et David Cameron, qui s’étaient déjà prononcés dans ce sens trois jours avant.
Il était grand temps que l’Europe se fasse entendre, même si elle apparait à la remorque des Etats-Unis qui, depuis le début de la révolte populaire en Egypte, ont toujours eu une longueur d’avance. Ce décalage tient sans doute aux va-et-vient diplomatiques nécessaires avant que trois puis cinq dirigeants européens tombent d’accord sur un texte commun.
Pas de voix unique
Ce serait plus facile si l’Union européenne était en mesure de parler d’une seule voix. Malgré le traité de Lisbonne, la désignation d’un président «stable» du Conseil européen (Herman van Rompuy) et d’un Haut représentant pour la politique étrangère (Catherine Asthon), ce sont encore les (grands) Etats qui s’expriment sur les questions internationales. Les deux responsables désignés à cet effet sont peu loquaces. Catherine Ashton a tout de même exprimé sa «préoccupation», ce qui est la moindre des choses.
La discrétion européenne a une cause plus profonde. La politique méditerranéenne de l’Europe, que ce soit la politique communautaire, ou celle des Etats membres, notamment de la France, est en lambeaux. Quel que soit le sort d’Hosni Moubarak, Nicolas Sarkozy a perdu son coprésident de l’Union pour la Méditerranée.
Les révoltes populaires en Tunisie et en Egypte montrent que les Européens sont, depuis des années, passés totalement à côté des réalités des pays arabes. L’Union pour la Méditerranée, comme le processus de Barcelone qui l’avait précédée, étaient fondés sur un triptyque trompeur: sécurité-stabilité-développement.
Le prisme de la menace islamiste
Après les attentats du 11 septembre 2001, la situation au sud de la Méditerranée et au Moyen-Orient n’a été vue qu’à travers le prisme de la menace islamiste. Les régimes autoritaires qui promettaient en effet la sécurité et la stabilité, en ont tiré argument pour inciter les dirigeants européens à fermer les yeux sur les violations des droits de l’homme. La répression a été menée, et acceptée, au nom de la lutte contre le fondamentalisme.
Des observateurs et des experts de la région ont souvent attiré l’attention sur d’autres menaces minant la stabilité des régimes arabes autoritaires. L’islamisme était une parmi d’autres, comme l’incurie des Etats à assurer leurs responsabilités en matière de gouvernance et surtout la pauvreté. Les statistiques macro-économiques pouvaient être flatteuses, la croissance satisfaisante, mais la répartition des richesses, l’enrichissement des clans au pouvoir et la corruption privaient la plus grande partie des populations des bienfaits du développement.
Les obsessions occidentales
Ces bombes à retardement ont été ignorées par les dirigeants européens, poursuivis par trois obsessions: l’immigration, l’énergie, le terrorisme. Certes les déclarations sur le respect des droits de l’homme et des valeurs «communes» n’ont pas manqué au cours des dernières années. Mais ce n’était trop souvent que des bonnes paroles sans conséquence.
Le soutien aux sociétés civiles a été trop limité alors que les programmes de coopération un peu sérieux étaient négociés avec les régimes en place, améliorant leur image et aggravant leur capacité répressive. L’idée de conditionnalité entre la coopération économique et le respect des libertés fondamentales, contenue dans les accords de Barcelone, a été le plus souvent laissée de côté. Les partenaires de l’Europe du nord reprochent à la France de porter dans cet «oubli» une large part de responsabilité.
Sous prétexte de non-ingérence et de refus du néocolonialisme, l’Europe a peu aidé les sociétés civiles des pays du sud de la Méditerranée, ce qui ne les a pas empêchées de s’organiser elles-mêmes. Mais l’Europe a ainsi perdu l’occasion d’établir sur de nouvelles bases des relations avec ces peuples.
Qui va payer?
Dans la situation nouvelle créée par les révoltes en Tunisie et en Egypte, il faut inventer pour les relations nord-sud un autre «logiciel» (selon l’expression de l’opposant tunisien Kamel Jendoubi). Le «statut avancé» que l’UE voulait octroyer à la Tunisie de Ben Ali avec le soutien appuyé de la France, est dépassé. Il faut une aide massive, décentralisée, car la démocratie, si elle installe, ne réglera pas du jour au lendemain, le sort des jeunes chômeurs.
L’Europe ne pourra plus plaider pour la libre circulation des biens et des services et continuer à élever des obstacles à la libre circulation des hommes. Certains parlent déjà d’un plan Marshall, comme celui accordé aux Américains aux Européens après 1945. Mais qui paiera en ces temps de crise économique et de déficits budgétaires? La Chine?
http://www.slate.fr/story/33683/egypte- ... europeenne
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Mercredi 9 février2011
FRANCE • Mauvais trip pour le gouvernement français
REVUE DE PRESSE. Pour Nicolas Sarkozy qui espérait reprendre la main, les affaires tombent mal. Après Michèle Alliot-Marie en Tunisie, c'est au tour de François Fillon d'être épinglé pour ses vacances égyptiennes aux frais de Moubarak. Les journaux étrangers s'y intéressent aussi.
Le choix de la photo, évidemment, n'est pas anodin. Le Times de Londres, qui relate ce 9 février la récente polémique sur les vacances égyptiennes de François Fillon, a choisi d'illustrer son article par un cliché datant de... 2007. Il montre Nicolas Sarkozy en train de visiter les pyramides avec sa nouvelle conquête d'alors, Carla Bruni. "Les relations étroites que la France entretient avec des régimes arabes discrédités sont de nouveau passées à la loupe, après que François Fillon a admis avoir profité de vacances payées par le président Moubarak", résume le quotidien britannique. Partis pour les congés de Noël avec femme et enfants, le Premier ministre a payé de sa poche les billets d'avion, mais a ensuite été hébergé aux frais du contribuable égyptien. Matignon a confirmé les révélations publiées ce matin par Le Canard enchaîné. "Ce scandale rappelle un épisode que le président Sarkozy aurait aimé que les électeurs oublient : les vacances très critiquées qu'il avait passé en Egypte avec Carla Bruni, au tout début de leur relation en 2007", précise le Times.
De l'Australie au Brésil, nombreux sont les quotidiens étrangers à mentionner l'affaire. "Avis de turbulences pour François Fillon", annonce Le Temps à Genève. "Les voyages des ministres français sous le feu des critiques", titre le Wall Street journal. "La diplomatie française lutte pour ne pas perdre toute crédibilité en Afrique du Nord", analyse la Frankfurter allgemeine Zeitung. Il faut dire que les révélations sur les vacances de François Fillon tombent mal. "Il ne manquait plus que ça", écrit la correspondante à Paris du Soir (Bruxelles, non disponible en ligne) : "Déjà empêtré dans l'affaire des vacances tunisiennes de la ministre des Affaires étrangères, le gouvernement perd encore un peu plus d'altitude. Cette fois, c'est le Premier ministre lui-même qui est embarqué dans un 'bad trip'. Pendant que Micèle Alliot-Marie visitait Tabarka et le désert du grand Sud à bord du jet privé de son ami Aziz Miled, présenté comme un proche du clan Ben Ali, François Fillon se reposait durant les vacances de Noël avec sa famille... au frais du gouvernement égyptien. (...) On comprend soudain mieux l'embarras de l'Elysée à défendre sa ministre des Affaires étrangères... Muet jusqu'ici, Nicolas Sarkozy avait préféré observer la polémique avant de réagir. Et laissé François Fillon voler au secours de la locataire du Quai d'Orsay, à nouveau prise dans la tourmente des critiques hier [8 février] à l'Assemblée."
Pour le Times, cela ne fait pas de doute : ce nouveau scandale "devrait renforcer l'idée répandue que Nicolas Sarkozy est à la tête d'un gouvernement élitiste, déconnecté des aspirations du commun des Français. Il met aussi en question une politique étrangère qui implique des liens étroits avec des personnalités comme messieurs Ben Ali et moubarak, dont les régimes ont reçu soutien diplomatique et équipement militaire de la part de la France." A plus court terme, l'affaire Fillon complique la donne pour le président français, qui doit intervenir le 10 février en direct sur TF1, pour répondre aux questions d'un panel de Français. Comme l'explique Le Soir : "Le chef de l'Etat devra passer du mode offensif au mode défensif. Il devrait expliquer pourquoi la France, face au vent révolutionnaire qui secoue le monde arabe, a semblé à ce point rater le train de l'histoire."http://www.courrierinternational.com/ar ... t-francais
FRANCE • Mauvais trip pour le gouvernement français
REVUE DE PRESSE. Pour Nicolas Sarkozy qui espérait reprendre la main, les affaires tombent mal. Après Michèle Alliot-Marie en Tunisie, c'est au tour de François Fillon d'être épinglé pour ses vacances égyptiennes aux frais de Moubarak. Les journaux étrangers s'y intéressent aussi.
Le choix de la photo, évidemment, n'est pas anodin. Le Times de Londres, qui relate ce 9 février la récente polémique sur les vacances égyptiennes de François Fillon, a choisi d'illustrer son article par un cliché datant de... 2007. Il montre Nicolas Sarkozy en train de visiter les pyramides avec sa nouvelle conquête d'alors, Carla Bruni. "Les relations étroites que la France entretient avec des régimes arabes discrédités sont de nouveau passées à la loupe, après que François Fillon a admis avoir profité de vacances payées par le président Moubarak", résume le quotidien britannique. Partis pour les congés de Noël avec femme et enfants, le Premier ministre a payé de sa poche les billets d'avion, mais a ensuite été hébergé aux frais du contribuable égyptien. Matignon a confirmé les révélations publiées ce matin par Le Canard enchaîné. "Ce scandale rappelle un épisode que le président Sarkozy aurait aimé que les électeurs oublient : les vacances très critiquées qu'il avait passé en Egypte avec Carla Bruni, au tout début de leur relation en 2007", précise le Times.
De l'Australie au Brésil, nombreux sont les quotidiens étrangers à mentionner l'affaire. "Avis de turbulences pour François Fillon", annonce Le Temps à Genève. "Les voyages des ministres français sous le feu des critiques", titre le Wall Street journal. "La diplomatie française lutte pour ne pas perdre toute crédibilité en Afrique du Nord", analyse la Frankfurter allgemeine Zeitung. Il faut dire que les révélations sur les vacances de François Fillon tombent mal. "Il ne manquait plus que ça", écrit la correspondante à Paris du Soir (Bruxelles, non disponible en ligne) : "Déjà empêtré dans l'affaire des vacances tunisiennes de la ministre des Affaires étrangères, le gouvernement perd encore un peu plus d'altitude. Cette fois, c'est le Premier ministre lui-même qui est embarqué dans un 'bad trip'. Pendant que Micèle Alliot-Marie visitait Tabarka et le désert du grand Sud à bord du jet privé de son ami Aziz Miled, présenté comme un proche du clan Ben Ali, François Fillon se reposait durant les vacances de Noël avec sa famille... au frais du gouvernement égyptien. (...) On comprend soudain mieux l'embarras de l'Elysée à défendre sa ministre des Affaires étrangères... Muet jusqu'ici, Nicolas Sarkozy avait préféré observer la polémique avant de réagir. Et laissé François Fillon voler au secours de la locataire du Quai d'Orsay, à nouveau prise dans la tourmente des critiques hier [8 février] à l'Assemblée."
Pour le Times, cela ne fait pas de doute : ce nouveau scandale "devrait renforcer l'idée répandue que Nicolas Sarkozy est à la tête d'un gouvernement élitiste, déconnecté des aspirations du commun des Français. Il met aussi en question une politique étrangère qui implique des liens étroits avec des personnalités comme messieurs Ben Ali et moubarak, dont les régimes ont reçu soutien diplomatique et équipement militaire de la part de la France." A plus court terme, l'affaire Fillon complique la donne pour le président français, qui doit intervenir le 10 février en direct sur TF1, pour répondre aux questions d'un panel de Français. Comme l'explique Le Soir : "Le chef de l'Etat devra passer du mode offensif au mode défensif. Il devrait expliquer pourquoi la France, face au vent révolutionnaire qui secoue le monde arabe, a semblé à ce point rater le train de l'histoire."http://www.courrierinternational.com/ar ... t-francais
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Chine : le Shandong souffre de la plus grave sécheresse en 200 ans
La province orientale du Shandong, l'un des plus grands producteurs de céréales du pays, souffre de la plus grave sécheresse en deux cent ans.
Liu Wei, vice-secrétaire du Comité provincial du Parti communiste chinois (PCC) pour le Shandong, a indiqué lundi lors d'une réunion consacrée à la mobilisation de la lutte contre la sécheresse, que les fonctionnaires du Parti et du gouvernement local de tous les échelons en charge de l'agriculture devaient se rendre dans les fermes pour s'assurer que les mesures de lutte contre la sécheresse soient appliquées.
Les données du bureau météorologique provincial du Shandong montrent que cette sécheresse serait la plus grave en 200 ans s'il n'y a pas de précipitations substantielles d'ici la fin du mois de février.
La province n'a reçu que 12 millimètres de pluie depuis septembre 2010.
Le gouvernement central a lancé, vendredi, une réponse d'urgence de niveau II dans huit provinces ravagées par la sécheresse, y compris le Shandong. Ces huit provinces ont commencé à surveiller la situation de la sécheresse 24 heures sur 24, à rendre compte des dommages quotidiens et ont envoyé des experts et du matériel de secours dans les zones productrices de blé.
La sécheresse, qui persiste depuis quatre mois, a affecté 35,1% des cultures de blé, soit 96,11 millions de mu (6,4 millions d'hectares) et 21,7% des cultures totales dans les provinces, a annoncé lundi le ministère chinois de l'Agriculture.
Les zones de culture du blé dans ces huit provinces représentent plus de 80% du total du pays, selon un communiqué publié vendredi sur le site Internet du ministère.
Source: xinhua
http://french.peopledaily.com.cn/96851/7281444.html
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
bonsoir noble frère aimé NAVIÉ '(*_*)'
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonsoir nobles frères
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29 jan 2011
Le volcan Shinmoedake au Japon dans une éruption sans égal depuis 50 ans
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Au vu de l'intense activité électrique qui se produit toujours dans les panaches de fumées volcaniques, me suis demandé si cela avait un rapport avec " la résonance de Schumann " qui pose nombre de questions et dont peu de données scientifiques sont disponibles, ce qui ne facilite pas la tache d'en tirer des hypothèses mieux étayées.
Voici quelques extraits et liens, qui sont a lire avec toutes les réserves qui s'imposent, a défaut d'autres sources plus scientifiques sur le sujet.
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6 nov 2010
Résonance de Schumann et signaux rythmique de la Terre
En 1957, le Pr. O.W.Schumann (Université Munich) découvre les Ondes Transversales Magnétiques Terrestres aujourd’hui connues sous le nom d’Ondes de Schumann ou Résonance de Schumann. Il s’agit d’un phénomène atmosphérique naturel et permanent qui se propage autour de la Terre sous la forme d’une Onde Radioélectrique. Il faut tout d’abord savoir que la Terre est entourée d’une épaisse couche de particules chargées électriquement et ionisées appelée IONOSPHERE. Cette couche d’air ionisé s’étend sur une épaisseur qui va de 60/80 Km à 640 Km ; c’est le bouclier qui protège la Terre contre les vents solaires et les rayons cosmiques et réfléchit en outre les ondes radio. L’ionosphère est une couche épaisse fortement chargée qui forme avec la Terre un véritable condensateur ; ainsi la Terre est chargée négativement et l’ionosphère positivement, ce qui crée entre les deux une différence de potentiel variable de 200 volts par mètre en moyenne. Ce qui fait un véritable générateur électrique et les vents solaires, en interaction avec l’atmosphère en rotation, agissent comme des balais sur le collecteur d’un générateur. Terre et Ionosphère contiennent assez d’énergie potentielle (au moins 3 milliards de KW) chacune pour que l’excitation résonnante de la cavité Terre/Ionosphère augmente l’amplitude de fréquences Schumann naturelle, facilitant le captage de puissance électrique utile.
La Terre est en effet un grand conducteur sphérique et l’Ionosphère un plus grand conducteur encore. Les deux réunis constituent les plaques parallèles d’un condensateur d’un « condensateur sphérique » d’une capacité de 1500 microfarads pour la cavité totale Terre/Ionosphère. Dans les années 50, Russes et Américains s’intéressent aux travaux de M.TESLA, donc de l’Ionosphère, et se rendent vite compte que de puissantes émissions d’ondes ionisantes ont le pouvoir de modifier le climat. Ils leurs suffit d’activer les Electrons qui composent les différentes couches de l’atmosphère jusqu’à en modifier la densité. Le système HAARP de modification du climat est déjà là et nous lui consacrerons un chapitre.
Rappelons que le champ humain possède ainsi son propre champ électrostatique autour de lui, des lignes de champ résultant de diverses réactions biochimiques dans le corps ; le Bio champ qui en résulte, nous accouple au champ isoélectrique de la planète. En 1957, Schumann calcula les fréquences de la résonance Terre/Ionosphère et repéra la principale onde permanente à environ 7,83 Hz (cycles par seconde), chiffre confirmé plus tard par Koenig. Cette onde coincée dans la cavité d’air comprise entre la surface du sol et l’Ionosphère se répercute sans fin à la même fréquence de 7,83 car constamment réactivée. En fait, cette pulsation se nourrit de l’activité électrique des orages (à l’échelle du globe, il y a près de 300 éclairs à la seconde) mais aussi du vent solaire et de ses rafales de photons à hautes énergies qui viennent en permanence caresser les couches les plus hautes de notre atmosphère, l’électrisant progressivement et saturant la haute atmosphère de charges électriques qui constituent l’Ionosphère. Toutefois, en fonction du jour, de la nuit, des saisons, la pression du « souffle » solaire sur la haute atmosphère augmente ou diminue et l’épaisseur de l’ionosphère s’en ressent tout comme l’atmosphère terrestre. Rappelons que ces ondes Schumann vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des êtres humains et des mammifères en général.
Selon HAIMSWORTH, le fait que les signaux naturels de la RS ont une influence sur l’évolution du modèle des ondes cérébrales montrent que tout les champs électriques de faible puissance sont susceptibles d’exercer une telle influence, autrement dit, que les champs électriques produits inconsidérément par les technologies humaines modernes peuvent constituer « des sources de changements » comme par exemple, à plus ou moins long terme, l’extinction progressive des espèces existantes. Cela se comprend aisément puisqu’il s’agit d’un système accordé constitué d’au moins 20 oscillateurs dont les fréquences naturelles de résonance sont identiques. Si les oscillateurs commencent à émettre, il active aussitôt l’autre par une sorte de processus de résonance dans les neutrons. HAIMSWORTH cite le cas où, lorsqu’un homme est en méditation profonde (marquée par des ondes aux rythmes Alpha et Thêta qui traversent son cerveau) une entrée en résonance peut se faire entre l’être humain et la planète Terre. La planète Terre, en effet communique avec nous selon ce langage primitif des fréquences. Même la santé des hommes semble liée aux paramètres géophysiques par le biais des résonances de Schumann. Comme la fréquence des signaux RS est déterminée par les dimensions de la cavité entre la Terre et l’Ionosphère, tout ce qui modifie ces dimensions, modifiera aussi les fréquences de Résonance, comme par exemple, les tempêtes de l’Ionosphère qui provoquent des modifications magmatiques sous forme de tempêtes géomagnétiques qui peuvent intervenir dans la modification des signaux RS. En effet, les fréquences des signaux RS varient en fonction des conditions Ionosphériques qui changent quotidiennement de façon saisonnière et selon les variations de l’activité solaire qui, à son tour, varie selon le cycle de 11 ans de tâches solaires et du cycle lunaire de 27/29 jours, surtout durant les périodes de tâches solaires minimales. Les marées lunaires, en affectant la hauteur et l’épaisseur des couches peuvent modifier les dimensions de la cavité et par conséquent les fréquences RS ; c’est aussi les signaux ELF de HAARP envoyés par des hommes inconscients des dangers qu’ils font peser sur l’humanité, car il faut le rappeler, ces ondes RS vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des êtres humains soit 7,8 Hertz ou cycles par secondes. C’est la fréquence de Résonance de l’Hypothalamus et l’unique fréquence commune à tout les mammifères, alors que le rythme Alpha peut varier d’une personne à une autre (entre 9 et 11 Hertz) la fréquence de 7,8 Hertz est commune à absolument tous. C’est une constante biologique sous laquelle la vie humaine est impossible, c’est dire son importance.
Ainsi, lorsque les astronautes rentraient de leurs missions spatiales, ils avaient tous de sérieux problèmes de santé. En effet, lorsqu’ils volaient au dehors de l’Ionosphère, il leur manquait cette fréquence vitale de 7,8 Hertz. Pour résoudre ce problème majeur, on installa à bord des vaisseaux de l’espace des générateurs d’ondes de Schumann artificielles. La NASA a, sur ce sujet, multiplié les études et prouvé que si l’on enferme quelqu’un dans un bunker totalement isolé magnétiquement, de graves problèmes de santé surviennent rapidement accompagnés de rythmes cardiaques complètement anarchiques. Dés que l’on émet des pulsations de 7,8 Hertz à l’intérieur, immédiatement les conditions se stabilisent. Notons encore que beaucoup de problèmes cardiaques surviennent durant les tempêtes électromagnétiques sur Terre ; ils sont dus aux perturbations de ces ondes RS ou onde Schumann. Actuellement, toutes les recherches faites sur la RS indiquent que la fréquence de base de la RS a augmenté dangereusement créant une menace pour toute la Biosphère et pour la santé et l’avenir de l’espèce humaine. Rappelons que tous les processus biologiques sont fonction des interactions du champ électromagnétique. Ces champs EM constituent le lien entre le monde des formes et les schémas de résonance ; ils stockent les configurations et les modèles d’information.
Pour HAIMSWORTH, ces fréquences cérébrales évoluent en réponse à ces signaux ; donc les conditions des changements évolutifs des modèles des ondes cérébrales sont bien établies et leurs variations peuvent affecter gravement la santé et le comportement humain ; certains effets commencent à être connus mais dans la plupart des cas, la nature des stimulis ne permet pas toujours l’identification exacte des effets provoqués, surtout si au milieu s’insèrent des effets eux aussi provoqués, de stress, on obtient donc, avec ces changements de signaux, des comportements asociaux, des troubles mentaux profonds, des états psychosomatiques et des perturbations neurologiques. Certains phénomènes des champs électromagnétiques ont pu être associés à une diminution de la résistance immunitaire et à la prolifération de cellules anormales (tumorales.). Ainsi le champ Isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émanent de nos corps sont étroitement imbriqués ; nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes affectant notre équilibre.
Le corps humain est rempli de bien d’autres choses, qui n’est pas de la chimie..Il est aussi rempli de l’énergie magnétique et électrique qui priment avant toute forme de vie organisée, . de la conscience d’être et de la pensée humaine qui sont déjà là avant sa création.
Enfin on sait maintenant depuis les travaux de Schumann et Haimsworth, que grâce notamment à la fameuse RS ou « Résonance de Schumann », il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps-esprit, cette RS pouvant être considérée à juste titre comme « la voix de la planète ».
http://www.gizmodo.fr/2011/01/29/le-vol ... 0-ans.html
http://www.neotrouve.com/?p=996
http://www.aci-multimedia.net/connaissa ... mann1.html
http://lestempspresents.over-blog.com/a ... 12311.html
http://www.ascensionplanetaire.com/doss ... humann.htm
http://www.activolcans.info/Info-volcan ... -monde.php
http://geofon.gfz-potsdam.de/geofon//se ... obmon.html

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29 jan 2011
Le volcan Shinmoedake au Japon dans une éruption sans égal depuis 50 ans
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Au vu de l'intense activité électrique qui se produit toujours dans les panaches de fumées volcaniques, me suis demandé si cela avait un rapport avec " la résonance de Schumann " qui pose nombre de questions et dont peu de données scientifiques sont disponibles, ce qui ne facilite pas la tache d'en tirer des hypothèses mieux étayées.
Voici quelques extraits et liens, qui sont a lire avec toutes les réserves qui s'imposent, a défaut d'autres sources plus scientifiques sur le sujet.

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6 nov 2010
Résonance de Schumann et signaux rythmique de la Terre
En 1957, le Pr. O.W.Schumann (Université Munich) découvre les Ondes Transversales Magnétiques Terrestres aujourd’hui connues sous le nom d’Ondes de Schumann ou Résonance de Schumann. Il s’agit d’un phénomène atmosphérique naturel et permanent qui se propage autour de la Terre sous la forme d’une Onde Radioélectrique. Il faut tout d’abord savoir que la Terre est entourée d’une épaisse couche de particules chargées électriquement et ionisées appelée IONOSPHERE. Cette couche d’air ionisé s’étend sur une épaisseur qui va de 60/80 Km à 640 Km ; c’est le bouclier qui protège la Terre contre les vents solaires et les rayons cosmiques et réfléchit en outre les ondes radio. L’ionosphère est une couche épaisse fortement chargée qui forme avec la Terre un véritable condensateur ; ainsi la Terre est chargée négativement et l’ionosphère positivement, ce qui crée entre les deux une différence de potentiel variable de 200 volts par mètre en moyenne. Ce qui fait un véritable générateur électrique et les vents solaires, en interaction avec l’atmosphère en rotation, agissent comme des balais sur le collecteur d’un générateur. Terre et Ionosphère contiennent assez d’énergie potentielle (au moins 3 milliards de KW) chacune pour que l’excitation résonnante de la cavité Terre/Ionosphère augmente l’amplitude de fréquences Schumann naturelle, facilitant le captage de puissance électrique utile.
La Terre est en effet un grand conducteur sphérique et l’Ionosphère un plus grand conducteur encore. Les deux réunis constituent les plaques parallèles d’un condensateur d’un « condensateur sphérique » d’une capacité de 1500 microfarads pour la cavité totale Terre/Ionosphère. Dans les années 50, Russes et Américains s’intéressent aux travaux de M.TESLA, donc de l’Ionosphère, et se rendent vite compte que de puissantes émissions d’ondes ionisantes ont le pouvoir de modifier le climat. Ils leurs suffit d’activer les Electrons qui composent les différentes couches de l’atmosphère jusqu’à en modifier la densité. Le système HAARP de modification du climat est déjà là et nous lui consacrerons un chapitre.
Rappelons que le champ humain possède ainsi son propre champ électrostatique autour de lui, des lignes de champ résultant de diverses réactions biochimiques dans le corps ; le Bio champ qui en résulte, nous accouple au champ isoélectrique de la planète. En 1957, Schumann calcula les fréquences de la résonance Terre/Ionosphère et repéra la principale onde permanente à environ 7,83 Hz (cycles par seconde), chiffre confirmé plus tard par Koenig. Cette onde coincée dans la cavité d’air comprise entre la surface du sol et l’Ionosphère se répercute sans fin à la même fréquence de 7,83 car constamment réactivée. En fait, cette pulsation se nourrit de l’activité électrique des orages (à l’échelle du globe, il y a près de 300 éclairs à la seconde) mais aussi du vent solaire et de ses rafales de photons à hautes énergies qui viennent en permanence caresser les couches les plus hautes de notre atmosphère, l’électrisant progressivement et saturant la haute atmosphère de charges électriques qui constituent l’Ionosphère. Toutefois, en fonction du jour, de la nuit, des saisons, la pression du « souffle » solaire sur la haute atmosphère augmente ou diminue et l’épaisseur de l’ionosphère s’en ressent tout comme l’atmosphère terrestre. Rappelons que ces ondes Schumann vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des êtres humains et des mammifères en général.
Selon HAIMSWORTH, le fait que les signaux naturels de la RS ont une influence sur l’évolution du modèle des ondes cérébrales montrent que tout les champs électriques de faible puissance sont susceptibles d’exercer une telle influence, autrement dit, que les champs électriques produits inconsidérément par les technologies humaines modernes peuvent constituer « des sources de changements » comme par exemple, à plus ou moins long terme, l’extinction progressive des espèces existantes. Cela se comprend aisément puisqu’il s’agit d’un système accordé constitué d’au moins 20 oscillateurs dont les fréquences naturelles de résonance sont identiques. Si les oscillateurs commencent à émettre, il active aussitôt l’autre par une sorte de processus de résonance dans les neutrons. HAIMSWORTH cite le cas où, lorsqu’un homme est en méditation profonde (marquée par des ondes aux rythmes Alpha et Thêta qui traversent son cerveau) une entrée en résonance peut se faire entre l’être humain et la planète Terre. La planète Terre, en effet communique avec nous selon ce langage primitif des fréquences. Même la santé des hommes semble liée aux paramètres géophysiques par le biais des résonances de Schumann. Comme la fréquence des signaux RS est déterminée par les dimensions de la cavité entre la Terre et l’Ionosphère, tout ce qui modifie ces dimensions, modifiera aussi les fréquences de Résonance, comme par exemple, les tempêtes de l’Ionosphère qui provoquent des modifications magmatiques sous forme de tempêtes géomagnétiques qui peuvent intervenir dans la modification des signaux RS. En effet, les fréquences des signaux RS varient en fonction des conditions Ionosphériques qui changent quotidiennement de façon saisonnière et selon les variations de l’activité solaire qui, à son tour, varie selon le cycle de 11 ans de tâches solaires et du cycle lunaire de 27/29 jours, surtout durant les périodes de tâches solaires minimales. Les marées lunaires, en affectant la hauteur et l’épaisseur des couches peuvent modifier les dimensions de la cavité et par conséquent les fréquences RS ; c’est aussi les signaux ELF de HAARP envoyés par des hommes inconscients des dangers qu’ils font peser sur l’humanité, car il faut le rappeler, ces ondes RS vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des êtres humains soit 7,8 Hertz ou cycles par secondes. C’est la fréquence de Résonance de l’Hypothalamus et l’unique fréquence commune à tout les mammifères, alors que le rythme Alpha peut varier d’une personne à une autre (entre 9 et 11 Hertz) la fréquence de 7,8 Hertz est commune à absolument tous. C’est une constante biologique sous laquelle la vie humaine est impossible, c’est dire son importance.
Ainsi, lorsque les astronautes rentraient de leurs missions spatiales, ils avaient tous de sérieux problèmes de santé. En effet, lorsqu’ils volaient au dehors de l’Ionosphère, il leur manquait cette fréquence vitale de 7,8 Hertz. Pour résoudre ce problème majeur, on installa à bord des vaisseaux de l’espace des générateurs d’ondes de Schumann artificielles. La NASA a, sur ce sujet, multiplié les études et prouvé que si l’on enferme quelqu’un dans un bunker totalement isolé magnétiquement, de graves problèmes de santé surviennent rapidement accompagnés de rythmes cardiaques complètement anarchiques. Dés que l’on émet des pulsations de 7,8 Hertz à l’intérieur, immédiatement les conditions se stabilisent. Notons encore que beaucoup de problèmes cardiaques surviennent durant les tempêtes électromagnétiques sur Terre ; ils sont dus aux perturbations de ces ondes RS ou onde Schumann. Actuellement, toutes les recherches faites sur la RS indiquent que la fréquence de base de la RS a augmenté dangereusement créant une menace pour toute la Biosphère et pour la santé et l’avenir de l’espèce humaine. Rappelons que tous les processus biologiques sont fonction des interactions du champ électromagnétique. Ces champs EM constituent le lien entre le monde des formes et les schémas de résonance ; ils stockent les configurations et les modèles d’information.
Pour HAIMSWORTH, ces fréquences cérébrales évoluent en réponse à ces signaux ; donc les conditions des changements évolutifs des modèles des ondes cérébrales sont bien établies et leurs variations peuvent affecter gravement la santé et le comportement humain ; certains effets commencent à être connus mais dans la plupart des cas, la nature des stimulis ne permet pas toujours l’identification exacte des effets provoqués, surtout si au milieu s’insèrent des effets eux aussi provoqués, de stress, on obtient donc, avec ces changements de signaux, des comportements asociaux, des troubles mentaux profonds, des états psychosomatiques et des perturbations neurologiques. Certains phénomènes des champs électromagnétiques ont pu être associés à une diminution de la résistance immunitaire et à la prolifération de cellules anormales (tumorales.). Ainsi le champ Isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émanent de nos corps sont étroitement imbriqués ; nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes affectant notre équilibre.
Le corps humain est rempli de bien d’autres choses, qui n’est pas de la chimie..Il est aussi rempli de l’énergie magnétique et électrique qui priment avant toute forme de vie organisée, . de la conscience d’être et de la pensée humaine qui sont déjà là avant sa création.
Enfin on sait maintenant depuis les travaux de Schumann et Haimsworth, que grâce notamment à la fameuse RS ou « Résonance de Schumann », il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps-esprit, cette RS pouvant être considérée à juste titre comme « la voix de la planète ».
http://www.gizmodo.fr/2011/01/29/le-vol ... 0-ans.html
http://www.neotrouve.com/?p=996
http://www.aci-multimedia.net/connaissa ... mann1.html
http://lestempspresents.over-blog.com/a ... 12311.html
http://www.ascensionplanetaire.com/doss ... humann.htm
http://www.activolcans.info/Info-volcan ... -monde.php
http://geofon.gfz-potsdam.de/geofon//se ... obmon.html
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonsoir tous les mondes
Bonsoir toutes et tous
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10/02/2011
Création du 1er parti politique saoudien
Neuf militants ont annoncé aujourd'hui, sur leur site web, avoir créé le premier parti politique saoudien, bravant ainsi l'interdiction en place dans ce royaume ultra-conservateur.
Les militants ont baptisé leur mouvement "le parti de la nation islamique" et envoyé une lettre au roi Abdallah pour lui demander de le reconnaître, ont-ils indiqué sur leur site, http://www.islamicommaparty.com.
"Vous ne devez pas ignorer que le monde islamique a connu d'importants développements politiques et le renforcement des libertés et des droits de l'Homme, que l'islam approuve (...) Il est maintenant temps pour le royaume de suivre ce mouvement et d'y contribuer", ont-ils écrit au roi.
Les neufs signataires, avocats, hommes d'affaires, professeurs et militants politiques, ont précisé que leur parti visait à "contribuer à poursuivre le mouvement pacifique de réformes, que toute la population attend". Le groupe dit croire en "la liberté", au "pluralisme politique, à un transfert pacifique du pouvoir et au droit de la nation (islamique) à choisir ses gouvernements".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/ ... oudien.php

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"Vous ne devez pas ignorer que le monde islamique a connu d'importants développements politiques et le renforcement des libertés et des droits de l'Homme, que l'islam approuve (...) Il est maintenant temps pour le royaume de suivre ce mouvement et d'y contribuer", ont-ils écrit au roi.
Les neufs signataires, avocats, hommes d'affaires, professeurs et militants politiques, ont précisé que leur parti visait à "contribuer à poursuivre le mouvement pacifique de réformes, que toute la population attend". Le groupe dit croire en "la liberté", au "pluralisme politique, à un transfert pacifique du pouvoir et au droit de la nation (islamique) à choisir ses gouvernements".
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