TEMOIGNAGES
Posté : 03 août 2010, 17:36
D'autres faits vécus ne sont pas mentionnés pour rester à l'essentiel :
Nous avons bel et bien des voisins spatiaux Oummains!
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######
### 1985 env.début d’été.
### Pyrénées, en discothèque.
######
J’allais sortir d'une discothèque locale, l'amie qui m'accompagnait m'attendait déjà dehors.
Au moment de quitter l'établissement, un jeune homme d'environ 25 ans,habillé de façon sombre, s'est approché en souriant et m'a demandé si j'habitais ici, lui ai répondu oui et demandé d'où il était. Il me répondit qu'il était berger dans le sud de la France", en Provence, ou Haute Provence. Puis il me dit " J'ai rencontré des extra-terrestres... et tu peux venir avec moi", les derniers mots sous-entendaient : "si tu ne me crois pas viens avec moi !"
Je précise que je n'avais jamais vu cet homme auparavant.
Je lui ai demandé ce qu’il faisait ici, il m’a dit qu’il faisait un tour avant de partir avec eux.
Toutes sortes de pensées traversèrent mon esprit, tout ce que l’on peut imaginer. L’une d’elles était de vendre des photos, en effet, j’étais aussi photographe correspondant d’un journal régional.
Finalement, je lui demandais: "(Et si l'on part) on peut revenir?"
"Non, on ne peut pas revenir", m'a t-il semblé répondre, peut-être dans le sens où je n'aurais plus envie de revenir.
Je pensais alors que j’étais jeune et souhaitais avoir des enfants sur Terre. Qu’allais-je trouver ailleurs? Pensé aussi: ‘’Il est fou celui là’’ immédiatement, j'ai entendu : "non, je ne suis pas fou"
Il m'a semblé entendre sa réponse sans qu'il ne bouge les lèvres.
Je me suis dit : " je me fais les questions et les réponses?"
puis j'ai entendu:
"non, tu ne rêves pas"
Cette fois j’ai bien remarqué qu'il n'avait pas bougé les lèvres, j’ai eu peur le constatant.
Parmi d’autres pensées qui me vinrent, l'une d'entre elles était de crier:
"Venez les copains! Voici un extra-terrestre! On va arroser ça !"
Mais j'ai penché pour un humain télépathe aux intentions probablement douteuses, peut-être capable d’hypnotiser. .
Pressé par mon amie qui m'attendait à la sortie, mais aussi rendu inquiet par le personnage, je décidais de partir.
Je suis rentré chez moi et oublié cette histoire.
######
### 2003, Pyrénées, automne.
### Sur le lieu de travail, en fin de journée.
######
Je travaillais dans un magasin d’appareils photo vidéo, et articles divers.
Ce jour là, le soir, un client m’achète une clé USB, Il garde la tête plutôt baissée, et je me demande s'il me cache quelque chose.
Je pense: "Il vient pour m'acheter ça, ou pour autre chose?"
Il a la quarantaine, bien rasé pour une fin de journée, une peau exempte de boutons, rougeurs, vraiment sans défauts, d'apparence en pleine forme physique.
Je me dis qu'il doit mener une vie saine et doit être fonctionnaire de police ou de douane, comme d’autres clients du magasin.
Il se dirige vers la sortie et je pense alors : "Il y a quelque chose de curieux dans son attitude, par rapport à un client ordinaire".
J'entends alors, comme si on me parlait à 1 cm de l'oreille: " Tu ne crois pas si bien dire!" cela me fait sursauter et je me demande
"Qu'est ce qu'il m'arrive ?"
Mon client sort du magasin et me regarde brêvement depuis l'extérieur, avec un sourire en sous-entendu : "c'est bien moi, tu n'as pas rêvé".
Cela m’a rappelé la rencontre en discothèque vingt ans avant.
######
###16 Septembre 2004, vers 16h30/17h,
### Pyrénées, sur mon lieu de travail.
######
Ce jour là je revenais de la gare où j’avais déposé ma femme et nos enfants.
En arrivant au niveau de la douane, plusieurs voitures roulaient a faible allure, et les ai doublées en profitant d'un parking à cet endroit. Cette manœuvre n’était pas très "régulière", mais il n’y avait pas de douanier a proximité immédiate.
Je suis revenu sur mon lieu de travail, il n’y avait pas de clients et regardais l’animation extérieure.
10 ou 15 minutes après, je vis un groupe de sept ou huit personnes qui venaient vers le magasin, marchant d’un pas décidé, ils avaient une apparence bien mise, genre douaniers ou policiers en civil.
"Ils viennent peut-être pour me porter un PV" me suis-je dit, repensant à ma manœuvre cavalière un quart d’heure avant, devant le poste de douane.
L'un du groupe les précédaient et leur a fait signe d’entrer.
" De la façon dont ils entrent, ils ne viennent pas pour des achats".
Ils sont allés au fond du magasin, je suis resté appuyé à mon comptoir.
Je pensais qu’un PV était des plus malvenu dans mon budget actuel, et pensé que je ne tendrai pas la main pour recevoir une feuille...
Je n’ai pas bougé, espérant que mon collègue de travail s’occuperai d’eux. Mais nous étions en "froid" ce jour là, il regardait vers l'extérieur, les bras croisés, me signifiant ainsi qu’il n’irait pas . Après une trentaine de secondes, je suis allé vers eux.
"Il faut au moins que je leur adresse la parole", me suis-je dit.
Il y avait un monsieur au cheveux grisonnants, de taille moyenne, qui avait les mains appuyées sur le présentoir au fond du magasin, les autres me regardaient de façon aimable.
J’ai alors reconnu le client télépathe de l'année précédente qui m'avait transmit:
" Tu ne crois pas si bien dire", ma première pensée fut: "C'est donc un policier". Aussitôt j’entendis clairement en tête :
" Non, nous ne sommes pas des policiers !"
Ils étaient huit, dont cinq ou six habillés pareil, ce qui m’a fait penser :
" Terrible, voilà la dernière génération de douaniers télépathes !"
Pour vérifier la réalité de nos échanges de pensées, je lui ai demandé mentalement d'aller vers la porte d'entrée et de revenir où il était. Une petite hésitation, et il l'a fait!! J'ai pensé malgré tout: "coïncidence?"
Réponse mentale de celui-ci :
"non, pas une coïncidence"
Constater que toutes mes pensées pouvaient êtres lues m'a laissé mal à l’aise, sans avoir grand chose à me reprocher, mais possibles PV supplémentaires? Je vivais dans les Pyrénées depuis des années, ma voiture était encore immatriculée dans un autre département alors que le délai de régularisation est de six mois. J’imaginais une lourde amende éventuelle.
" Il était d'un gabarit un peu costaud, par la suite je le surnommerai "garde du corps" - "GC"
Il m’a tendu la main,souriant, que j’ai serrée.
GC me demanda, sur un ton de plaisanterie:
"Est-ce que vous auriez une pellicule photo 6x6 gros trou ? "
Je n’avais que du 24x36, lui ai dit non et demandé s’il lui fallait autre chose,
"Non ce sera tout" en terminant par un petit rire.
Le rire était inhabituel.
"Ce rire n'est pas humain" pensais-je.
Mon collègue regardais vers l’extérieur, nous tournant le dos.
GC me répondit en parole, d’un air jovial, "C’est un rire Oummain". Je n'ai pas su quoi penser de sa réponse et ressenti de l’inquiétude.
Je suis allé vers les autres, le monsieur grisonnant, avait toujours les deux mains sur le comptoir, et je vis un porte-document sous sa main droite.
J’ai repensé aux infractions que l’on pouvait me reprocher, et redouté un éventuel cumul de PV.
Je suis passé devant lui sans m’arrêter, en espérant que mon collègue irait les servir,
et regardé l'extérieur en leur tournant le dos.
Mon collège faisait de même, sans m’apporter d’aide. Après 20 ou 30 secondes de cette situation pesante je me suis dit "On ne va pas rester indéfiniment comme ça".
Je reviens vers eux, me demandant qui sont ces gens là et s’ils sont tous télépathes.
Ils se rapprochent tous et l'un d'eux me dit oralement: "nous n'appartenons pas à la Terre,nous venons d'une planète qui s'appelle ‘Ummo’ nous sommes ‘Oummains’ , ‘Ummites’.
Je me suis souvenu d’une émission TV où un scientifique, Mr Petit, parlait d'analyses de conversations téléphoniques prouvant l’existence d’ Ummites.
Je ne comprenais pas pourquoi ils ne s’étaient pas fait connaitre avant. Puis, l'un d'eux m'a dit, " Tu te souviens de moi?"
J’ai reconnu ce monsieur, il était le jeune homme étrange de la discothèque en 1985 (env.)
J’étais paniqué, il m‘a communiqué en pensée des phrases dont je n’ai retenu que le mot confiance qu’il avait répété plusieurs fois. Cela m’a un peu rassuré.
Le monsieur aux cheveux gris blancs me dit "Nous venons en mission sur terre depuis 1950".
Cela a renforcé mes craintes d’apprendre qu’ils se cachaient depuis très longtemps sans nous apporter d’aide.
J’ai pensé en regardant les autres :
"Et vous êtes à l'aise avec toute cette misère autour de vous? Ça ne vous dérange pas ?!"
"On ne peut pas intervenir" m'a répondu GC visiblement embarrassé.
J'ai alors demandé:
" vous venez peut-être pour me sauver, un séisme est a craindre ?"
( j’ai connu trois secousses légères)
GC me répondit: " non, pas de séisme "... puis il hésite... "un bouleversement économique oui".
Les affaires allaient bien en 2004, je suis resté perplexe devant cette réponse.
Cheveux gris blancs reprend alors GC d’un ton autoritaire :
"Tu peux être puni pour avoir dit cela".
Je fus peiné de voir GC humilié.
"Votre chef est un peu dur non ?" ai-je pensé.
Pas de réponse.
J’ai pensé alors en regardant GC, "C'est quoi les punitions chez vous? Dit cela a ton chef ! " GC s'est rapproché de son chef et lui a parlé a voix basse. Je m’interrogeais sur d’éventuelles punitions pouvant me concerner, mes pensées se bousculaient en me sachant lu dans chacune d’elles.
Une bonne minute après, GC m’a regardé sans répondre, et lui ai demandé ce que l’on me voulait.
Un autre m’a répondu oralement:
"On recherche des personnes comme toi"... (plus quelque chose que je n'ai pas compris) et,
"parce que tu es télépathe","nous, nous le sommes tous".
J’ai soupçonné une "collecte d'humains", trois jeunes hommes semblaient un peu en retrait du groupe, pensé a l’hypothèse d'enlèvements plus ou moins consentants, a mes enfants.
Devant mon attitude réservée GC me dit "prend la lettre que mon chef va te remettre, tu te posera des questions après"
J’ai pensé « voilà l'os, voilà le PV ! »
GC me répondit "Mais non! Il n'y a pas d'os!"
GC: "Comment tu nous traites !"
Moi : « Vous n’êtes pas très gentils pour des extra-terrestres », le tutoiement me gênait un peu.
GC: "C'est toi qui n'est pas très gentil, tu verras, quand tu nous connaitra mieux tu regretteras"
A sa réponse, j’ai pensé que nous nous reverrions donc plus tard, me suis rapproché de l'entrée et regardé l'extérieur.
Le groupe est sorti et le chef a dit en passant « Il écrira quand même ». Sous entendu même sans la lettre.
Fin de la rencontre.
Marc
Nous avons bel et bien des voisins spatiaux Oummains!
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### 1985 env.début d’été.
### Pyrénées, en discothèque.
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J’allais sortir d'une discothèque locale, l'amie qui m'accompagnait m'attendait déjà dehors.
Au moment de quitter l'établissement, un jeune homme d'environ 25 ans,habillé de façon sombre, s'est approché en souriant et m'a demandé si j'habitais ici, lui ai répondu oui et demandé d'où il était. Il me répondit qu'il était berger dans le sud de la France", en Provence, ou Haute Provence. Puis il me dit " J'ai rencontré des extra-terrestres... et tu peux venir avec moi", les derniers mots sous-entendaient : "si tu ne me crois pas viens avec moi !"
Je précise que je n'avais jamais vu cet homme auparavant.
Je lui ai demandé ce qu’il faisait ici, il m’a dit qu’il faisait un tour avant de partir avec eux.
Toutes sortes de pensées traversèrent mon esprit, tout ce que l’on peut imaginer. L’une d’elles était de vendre des photos, en effet, j’étais aussi photographe correspondant d’un journal régional.
Finalement, je lui demandais: "(Et si l'on part) on peut revenir?"
"Non, on ne peut pas revenir", m'a t-il semblé répondre, peut-être dans le sens où je n'aurais plus envie de revenir.
Je pensais alors que j’étais jeune et souhaitais avoir des enfants sur Terre. Qu’allais-je trouver ailleurs? Pensé aussi: ‘’Il est fou celui là’’ immédiatement, j'ai entendu : "non, je ne suis pas fou"
Il m'a semblé entendre sa réponse sans qu'il ne bouge les lèvres.
Je me suis dit : " je me fais les questions et les réponses?"
puis j'ai entendu:
"non, tu ne rêves pas"
Cette fois j’ai bien remarqué qu'il n'avait pas bougé les lèvres, j’ai eu peur le constatant.
Parmi d’autres pensées qui me vinrent, l'une d'entre elles était de crier:
"Venez les copains! Voici un extra-terrestre! On va arroser ça !"
Mais j'ai penché pour un humain télépathe aux intentions probablement douteuses, peut-être capable d’hypnotiser. .
Pressé par mon amie qui m'attendait à la sortie, mais aussi rendu inquiet par le personnage, je décidais de partir.
Je suis rentré chez moi et oublié cette histoire.
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### 2003, Pyrénées, automne.
### Sur le lieu de travail, en fin de journée.
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Je travaillais dans un magasin d’appareils photo vidéo, et articles divers.
Ce jour là, le soir, un client m’achète une clé USB, Il garde la tête plutôt baissée, et je me demande s'il me cache quelque chose.
Je pense: "Il vient pour m'acheter ça, ou pour autre chose?"
Il a la quarantaine, bien rasé pour une fin de journée, une peau exempte de boutons, rougeurs, vraiment sans défauts, d'apparence en pleine forme physique.
Je me dis qu'il doit mener une vie saine et doit être fonctionnaire de police ou de douane, comme d’autres clients du magasin.
Il se dirige vers la sortie et je pense alors : "Il y a quelque chose de curieux dans son attitude, par rapport à un client ordinaire".
J'entends alors, comme si on me parlait à 1 cm de l'oreille: " Tu ne crois pas si bien dire!" cela me fait sursauter et je me demande
"Qu'est ce qu'il m'arrive ?"
Mon client sort du magasin et me regarde brêvement depuis l'extérieur, avec un sourire en sous-entendu : "c'est bien moi, tu n'as pas rêvé".
Cela m’a rappelé la rencontre en discothèque vingt ans avant.
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###16 Septembre 2004, vers 16h30/17h,
### Pyrénées, sur mon lieu de travail.
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Ce jour là je revenais de la gare où j’avais déposé ma femme et nos enfants.
En arrivant au niveau de la douane, plusieurs voitures roulaient a faible allure, et les ai doublées en profitant d'un parking à cet endroit. Cette manœuvre n’était pas très "régulière", mais il n’y avait pas de douanier a proximité immédiate.
Je suis revenu sur mon lieu de travail, il n’y avait pas de clients et regardais l’animation extérieure.
10 ou 15 minutes après, je vis un groupe de sept ou huit personnes qui venaient vers le magasin, marchant d’un pas décidé, ils avaient une apparence bien mise, genre douaniers ou policiers en civil.
"Ils viennent peut-être pour me porter un PV" me suis-je dit, repensant à ma manœuvre cavalière un quart d’heure avant, devant le poste de douane.
L'un du groupe les précédaient et leur a fait signe d’entrer.
" De la façon dont ils entrent, ils ne viennent pas pour des achats".
Ils sont allés au fond du magasin, je suis resté appuyé à mon comptoir.
Je pensais qu’un PV était des plus malvenu dans mon budget actuel, et pensé que je ne tendrai pas la main pour recevoir une feuille...
Je n’ai pas bougé, espérant que mon collègue de travail s’occuperai d’eux. Mais nous étions en "froid" ce jour là, il regardait vers l'extérieur, les bras croisés, me signifiant ainsi qu’il n’irait pas . Après une trentaine de secondes, je suis allé vers eux.
"Il faut au moins que je leur adresse la parole", me suis-je dit.
Il y avait un monsieur au cheveux grisonnants, de taille moyenne, qui avait les mains appuyées sur le présentoir au fond du magasin, les autres me regardaient de façon aimable.
J’ai alors reconnu le client télépathe de l'année précédente qui m'avait transmit:
" Tu ne crois pas si bien dire", ma première pensée fut: "C'est donc un policier". Aussitôt j’entendis clairement en tête :
" Non, nous ne sommes pas des policiers !"
Ils étaient huit, dont cinq ou six habillés pareil, ce qui m’a fait penser :
" Terrible, voilà la dernière génération de douaniers télépathes !"
Pour vérifier la réalité de nos échanges de pensées, je lui ai demandé mentalement d'aller vers la porte d'entrée et de revenir où il était. Une petite hésitation, et il l'a fait!! J'ai pensé malgré tout: "coïncidence?"
Réponse mentale de celui-ci :
"non, pas une coïncidence"
Constater que toutes mes pensées pouvaient êtres lues m'a laissé mal à l’aise, sans avoir grand chose à me reprocher, mais possibles PV supplémentaires? Je vivais dans les Pyrénées depuis des années, ma voiture était encore immatriculée dans un autre département alors que le délai de régularisation est de six mois. J’imaginais une lourde amende éventuelle.
" Il était d'un gabarit un peu costaud, par la suite je le surnommerai "garde du corps" - "GC"
Il m’a tendu la main,souriant, que j’ai serrée.
GC me demanda, sur un ton de plaisanterie:
"Est-ce que vous auriez une pellicule photo 6x6 gros trou ? "
Je n’avais que du 24x36, lui ai dit non et demandé s’il lui fallait autre chose,
"Non ce sera tout" en terminant par un petit rire.
Le rire était inhabituel.
"Ce rire n'est pas humain" pensais-je.
Mon collègue regardais vers l’extérieur, nous tournant le dos.
GC me répondit en parole, d’un air jovial, "C’est un rire Oummain". Je n'ai pas su quoi penser de sa réponse et ressenti de l’inquiétude.
Je suis allé vers les autres, le monsieur grisonnant, avait toujours les deux mains sur le comptoir, et je vis un porte-document sous sa main droite.
J’ai repensé aux infractions que l’on pouvait me reprocher, et redouté un éventuel cumul de PV.
Je suis passé devant lui sans m’arrêter, en espérant que mon collègue irait les servir,
et regardé l'extérieur en leur tournant le dos.
Mon collège faisait de même, sans m’apporter d’aide. Après 20 ou 30 secondes de cette situation pesante je me suis dit "On ne va pas rester indéfiniment comme ça".
Je reviens vers eux, me demandant qui sont ces gens là et s’ils sont tous télépathes.
Ils se rapprochent tous et l'un d'eux me dit oralement: "nous n'appartenons pas à la Terre,nous venons d'une planète qui s'appelle ‘Ummo’ nous sommes ‘Oummains’ , ‘Ummites’.
Je me suis souvenu d’une émission TV où un scientifique, Mr Petit, parlait d'analyses de conversations téléphoniques prouvant l’existence d’ Ummites.
Je ne comprenais pas pourquoi ils ne s’étaient pas fait connaitre avant. Puis, l'un d'eux m'a dit, " Tu te souviens de moi?"
J’ai reconnu ce monsieur, il était le jeune homme étrange de la discothèque en 1985 (env.)
J’étais paniqué, il m‘a communiqué en pensée des phrases dont je n’ai retenu que le mot confiance qu’il avait répété plusieurs fois. Cela m’a un peu rassuré.
Le monsieur aux cheveux gris blancs me dit "Nous venons en mission sur terre depuis 1950".
Cela a renforcé mes craintes d’apprendre qu’ils se cachaient depuis très longtemps sans nous apporter d’aide.
J’ai pensé en regardant les autres :
"Et vous êtes à l'aise avec toute cette misère autour de vous? Ça ne vous dérange pas ?!"
"On ne peut pas intervenir" m'a répondu GC visiblement embarrassé.
J'ai alors demandé:
" vous venez peut-être pour me sauver, un séisme est a craindre ?"
( j’ai connu trois secousses légères)
GC me répondit: " non, pas de séisme "... puis il hésite... "un bouleversement économique oui".
Les affaires allaient bien en 2004, je suis resté perplexe devant cette réponse.
Cheveux gris blancs reprend alors GC d’un ton autoritaire :
"Tu peux être puni pour avoir dit cela".
Je fus peiné de voir GC humilié.
"Votre chef est un peu dur non ?" ai-je pensé.
Pas de réponse.
J’ai pensé alors en regardant GC, "C'est quoi les punitions chez vous? Dit cela a ton chef ! " GC s'est rapproché de son chef et lui a parlé a voix basse. Je m’interrogeais sur d’éventuelles punitions pouvant me concerner, mes pensées se bousculaient en me sachant lu dans chacune d’elles.
Une bonne minute après, GC m’a regardé sans répondre, et lui ai demandé ce que l’on me voulait.
Un autre m’a répondu oralement:
"On recherche des personnes comme toi"... (plus quelque chose que je n'ai pas compris) et,
"parce que tu es télépathe","nous, nous le sommes tous".
J’ai soupçonné une "collecte d'humains", trois jeunes hommes semblaient un peu en retrait du groupe, pensé a l’hypothèse d'enlèvements plus ou moins consentants, a mes enfants.
Devant mon attitude réservée GC me dit "prend la lettre que mon chef va te remettre, tu te posera des questions après"
J’ai pensé « voilà l'os, voilà le PV ! »
GC me répondit "Mais non! Il n'y a pas d'os!"
GC: "Comment tu nous traites !"
Moi : « Vous n’êtes pas très gentils pour des extra-terrestres », le tutoiement me gênait un peu.
GC: "C'est toi qui n'est pas très gentil, tu verras, quand tu nous connaitra mieux tu regretteras"
A sa réponse, j’ai pensé que nous nous reverrions donc plus tard, me suis rapproché de l'entrée et regardé l'extérieur.
Le groupe est sorti et le chef a dit en passant « Il écrira quand même ». Sous entendu même sans la lettre.
Fin de la rencontre.
Marc