Théories Physiques et Métaphysiques

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Ted
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Théories Physiques et Métaphysiques

Message par Ted »

La métaphysique, comment peut-on la définir ? C'est le discours qui a trait à l'âme, à la conscience, à la vie après la mort, à Dieu ; par définition, la métaphysique transcende la physique, elle la dépasse. L'outillage scientifique est utile en métaphysique. En " théologie naturelle " par exemple, on utilise les armes de la logique pour prouver l'existence de Dieu, on utilise la connaissance de l'univers et des lois qui le dirigent dans le même objectif. Mais ce n'est pas suffisant pour atteindre, véritablement, la transcendance. Or, ce qui nous apparaît comme de la métaphysique dans les discours oummites traitant de l'âme, de la mort, de Dieu, n'en est pas vu de leur côté puisqu'ils auraient acquis ces connaissances de manière scientifique, reproductible. De ce point de vue, ils ne font pas de métaphysique, seulement de la physique. Métaphysique est un terme inapproprié les concernant. Ils se déclarent agnostiques : seul ce qui est accessible à l'expérimentation compte.

La (méta)physique oummite regroupe 4 notions majeures :

- Dieu existe, en tant qu'être nécessaire ;
- L'univers est composé d'une multitude d'univers différents. En réalité le pluriunivers est unitaire, mais composé d'une multitude d'aspects différents que l'on traduit, nous êtres humains, par des univers différents. La différence principale qui caractérise les univers entre eux provient de la vitesse de la lumière en leur sein, qui s'échelonne entre 0 et l'infini. Ces univers vont par paire, ils sont conjugués deux à deux. L'univers se dit WAAM, le pluriunivers se dit WAAM-WAAM : univers d'univers.
- L'âme existe (BUAWA) : elle se situe dans un autre univers, celui dont la vitesse de la lumière est nulle ;
- Un autre univers essentiel existe : l'univers des Consciences Collectives (WAAM BUAWE BIAEI ). Sa vitesse limite est infinie, sa masse est également infinie. C'est à la fois la demeure des âmes désincarnées, ce qu'on appelle l'au-delà - lui même à la fois paradis, purgatoire et enfer - et c'est aussi l'inconscient collectif que nous abreuvons en permanence et qui nous nourrit en retour d'informations subliminales capitales pour notre évolution.

Les lettres nous enseignent que:

- Premièrement, nous devons abandonner nos concept d'espace-temps scalaire (les grandeurs x, y, z et t que nous considérons comme des nombres réels) au profit d'une conception où ces grandeurs sont non seulement quantifiées mais de plus sont des grandeurs angulaires et non scalaires.

- Deuxièmement, l'univers (le WAAM-WAAM) est constitué d'une infinité de paires de cosmos qui diffèrent entre eux par la valeur vitesse de la lumière. Ceci est cohérent avec les travaux de Jean-Pierre Petit qui a montré (et publié dans des revues scientifiques de haut niveau) que :
  • Le fait que chaque cosmos possède un cosmos jumeau est en adéquation parfaite avec la relativité restreinte (ce qui avait été montré par Sakharov), et de plus la présence de matière-ombre (et non matière sombre) dans l'univers jumeau permet d'expliquer la stabilité des galaxies et la source d'énergie des quasars sans faire appel a l'hypothèse de l'existence des trous noirs. L'univers jumeau est P-symétrique, T-symétrique et C-symétrique. Il n'interagit avec l'autre cosmos de la paire que par la gravitation, avec un signe - dans la constante de couplage. Contrairement à une opinion répandue, on peut dans le cadre d'une théorie de jauge faire varier la vitesse de la lumière en restant compatible avec la relativité : le fait que ce soit une théorie de jauge implique que toutes les constantes c,G,h,R... varient simultanément selon des lois de jauge (explicitées par Jean Pierre Petit). Par ailleurs il est impossible de se rendre compte, au moyen d'appareils de mesure, de cette variation car les "règles" avec lesquelles nous pourrions faire cette mesure suivent elles aussi les lois de jauge.
- Troisièmement, Platon est remis à l'honneur du fait que l'univers observable par nos sens n'est que l'ombre (la projection) de l'univers réel qui est constitué d'un ensemble "d'ibozoo-uu" (que nous abrégerons en IU). Les IU sont définis comme des sortes de "hérissons" , définissant des "axes" orientés. Dans un univers, les IU sont en nombre dénombrable (on peut les mettre en correspondance avec l'ensemble des entiers naturels). Les IU appartiennent à un "espace" qui n'est pas l'espace-temps, c'est pourquoi le concept de distance entre deux IU n'a aucun sens. Par contre en projetant cet espace des IU selon un hyperplan, on obtient une "chaîne" d'IU liés entre eux deux à deux ; dans cette chaîne un IU seul n'a aucun sens physique. Par contre un couple d'IU lié à un sens : en considérant que l'un des membres du couple définit par ses "axes" (les piquants du hérisson) un repère, les "axes" de l'autre IU du couple définissent par leurs angles avec le repère fourni par l'autre IU les grandeurs familières x, y, z, t mais sous forme angulaire et non scalaire. Le mot "axe" est mis entre guillemets car les texte ummites précisent que ces axes n'ont pas de point d'origine !

- Quatrièmement, le "cadre" de chaque cosmos est pentadimensionel. Ceci est cohérent avec la relativité d'échelle de L. Nottale (la cinquième dimension est alors l'échelle). Moyennant une multiplication par deux du nombre de dimension à l'aide d'une symétrie (qui pourrait être le groupe de symétrie E8), ceci cadre également avec la théorie des supercordes, en particulier la variante 'hétérotique E8xE8'.

Existe-t-il des théories, ultérieures à celle exposée dans les lettres, qui tendraient à confirmer son contenu?

Outre les travaux célèbres du physicien et astro-physicien Jean-Pierre Petit - qui a réussi notamment a introduire le second univers couplé dans l'équation de champ d'Einstein, l'équation fondamentale de la cosmologie, d'après les indications portées sur les lettres oummites - d'autres physiciens de par le monde ont tenté de transformer ces indices en science de qualité. Une liste spécialisée en physique sur le site ummo-sciences.org a permis l'échange d'idées et bien que certains scientifiques craignent de divulguer leur véritable identité, et de mêler le nom d'Oummo à leurs travaux, d'autres ont publié leurs résultats. C'est le cas du canadien Benedictus Servant par exemple qui a réussi à reformuler la théorie des IBOZOO UU, qu'il a nommé nœuds d'axes orientés, et à retrouver les résultats de la Relativité restreinte : vitesse de la lumière déduite de l'inversion des axes d'espace et de temps, dilatation du temps, contraction des longueurs.

Mais d'autres modèles scientifiques se tournent vers l'idée d'un "ordre caché" ou d'une réalité que nous n'aurions pas encore saisie, largement décrite dans les lettres ummites. La science bute en effet encore aujourd'hui sur cet incroyable défi pour la raison humaine que représente l'observation avérée de certains phénomènes étranges car ne possédant aucune cause apparente. Il s'agit de synchronicités ou coincidences dont la forte improbabilité laisse à penser qu'elles ne sont pas dues au hasard. La pensée rationnelle dominante ne sait aujourd'hui y répondre qu'en invoquant le hasard et la subjectivité de l'observateur, mais cela n'explique rien, car le caractère étrange de ces phénomènes ne provient pas de leur subjectivité mais de leur forte improbabilité. Le fait de mettre systématiquement cette improbabilité sur le compte du hasard lui-même en prétendant qu'il n'y a aucune explication à rechercher est une erreur, voire un sophisme, qui provient au mieux d'une méconnaissance des lois de la statistique, au pire d'une foi aveugle dans le caractère abouti de la science et de la logique causale. Bien qu'il soit juste et sain d'invoquer en première hypothèse le hasard face à de tels phénomènes, il devient erroné et naïf de maintenir envers et contre tout l'hypothèse du hasard, en présence de cas où elle ne résiste pas au calcul des probabilités.

Depuis des décennies, de nombreux auteurs ont cherché à trouver d'autres explications, et ont proposé différentes théories alternatives au hasard:
  • - Théorie de l'Acausalité de C.G. Jung et W.E. Pauli (1952): L'inconscient collectif et sa manifestation non causale;
    - Théorie de l'Ordre Implicite de David Bohm (1980): Idée que la réalité s'implie ou se déplie comme un hologramme;
    - Théorie des Champs Morphiques de Rupert Sheldrake (1988): Concept de causalité formative (pensées agissantes);
    - Théorie de l'Ordre Caché de David Peat (1988): Synthèse des approches reliant la synchronicité et la mécanique quantique;
    - Théorie des Hasards Nécessaires de Jean-François Vezina (2001): Synchronicité relationnelle (approche expérimentale);
    - Théorie de la Psyché Quantique de François Martin (2004): Synchronicité et intrication quantique du psychisme;
    - Théorie du Champ Akashique de Ervin Laszlo (2004): Champ d'informations sous la manifestation du réel;
    - Théorie de la Rétrocausalité Quantique de Holger Bech Nielsen et al. (2008): Rétrocausalité (influence du futur sur le présent);
    - Théorie de la Double Causalité de Philippe Guillemant (2009): Déterminisme inversé et loi de convergence des parties (loi d'attraction).
Voyons quelques-unes d'entre-elles et notons les similarités avec les modèles ummites:

Théorie des Champs Morphiques de Rupert Sheldrake :

La morphogénèse sheldrakienne est censée toucher toutes les formes auto-engendrées, des cristaux aux embryons, du langage à nos comportements. Vaste ambition, que les sciences modernes ne peuvent intégrer autrement que de façon heuristique (comme un jeu qui fait réfléchir).

Acceptée telle quelle, la résonnance morphique remettrait en cause toutes les disciplines contemporaines.

Dans son premier livre, Une nouvelle science de la vie (1981), le jeune biologiste de Cambridge essayait encore fougueusement de tout prouver par A plus B, citant moultes expériences frappantes, tant sur les cristaux que sur les rats ou sur les humains.

Dans le second livre, Presence of the Past (1988, traduit La mémoire de l’Univers), on note une maturation. Rupert Sheldrake affirme son anglicité : tout de vient question d’habitude, de coutume. La lumière se déplace à 300000 km/s ? C’est parce qu’elle a pris cette habitude ! Rien n’est immuable. Tout bouge, évolue. Nous sommes influencés par des "champs de forme" depuis l’hors-espace-temps, mais nous influençons ces champs en retour - comme si l’idée divine nous modelait tout en étant modelée par nous en permanence.

Avec son troisième livre enfin, The rebirth of Nature (1991, traduit L’âme de la nature), le chercheur s’offre un melting pot philosophique. Après deux cents ans de mécanisme forcené, dit-il, on a voulu mordicus comparer la nature à nos machines, la transformant en un enchevêtrement de structures inertes, et voilà que s’annonce un nouvel animisme. La nature a une âme ! Une âme sexuée et divine. Nous le savons intimement. Que des savants puissent en refaire le coeur de leur art a de quoi nous faire chanceler de joie.

Théorie de l'Ordre Implicite de David Bohm :

La théorie de l'Ordre Implicite (ou encore implié, caché...) suppose que le comportement des particules élémentaires est à tout instant déterminé par une description d'un ordre supérieur, non observable dans notre espace temps ordinaire à 4 dimensions. En ce sens elle rejoint la théorie des cordes qui fait appel à des dimensions supplémentaires de l'espace, qualifiées de dimensions invisibles, car extrèmement petites ou encore repliées sur elles-mêmes.

Le problème de cette hypothèse est qu'elle est à priori en contradiction avec les conclusions de la mécanique quantique, vérifiées depuis 1982 par l'expérience d'Alain Aspect, suivie de bien d'autres, selon lesquelles il ne peut exister de variables cachées qui détermineraient le comportement apparemment aléatoire des particules.

Cependant, en unifiant la mécanique quantique et la relativité générale d'Einstein, la théorie des cordes nous propose un modèle cohérent de l'univers dans lequel il existerait bien un ordre supérieur caché, qui serait contenu dans des dimensions supplémentaires de l'espace embobinées dans un espace de Calabi-Yau, décrivant les propriétés de vibration des cordes et notamment leurs formes géométriques.

Le comportement des particules ne serait donc pas déterminé par des variables cachées faisant partie de notre espace-temps ordinaire mais par des informations extérieures à cet espace-temps, qui seraient contenues dans des dimensions spatiales supplémentaires.

Or les conclusions de David Bohm conduisent au solipsisme, cette philosophie selon laquelle le Monde est dans l'esprit de celui qui l'observe, et serait ainsi indissolublement relié à, voire dépendant de, notre psyché: Tout est dans tout, nous dit-il, la masse, l'énergie contiennent des informations sur l'univers tout entier. Quand un son ou une lumière parvient jusqu'à nous, que la conscience les reconnaît, nos organes sensoriels sont confrontés à tout l'Univers. Nous devenons le sujet de notre étude, l'observateur s'observe.

On peut alors s'avancer à conclure, si ces intuitions sont fondées, que ces dimensions supplémentaires de l'espace pourraient être intimement liées à notre psyché, à notre esprit, en tant qu'entité douée de la propriété de nous rendre observateur de l'univers. Cette idée est reprise dans la théorie de la double causalité, dans le but d'expliquer le mécanisme des synchronicités.

Le phénomène de synchronicité serait alors l'une des rares manifestations concrètes de l'"ordre caché" de l'univers.

Théorie de la Double Causalité de Philippe Guillemant :

La Double Causalité est le concept fondateur d'une Théorie de la Synchronicité qui fait émerger naturellement l'Esprit (ou l'âme) d'une nouvelle conception du temps dévoilant un processus subtil de co-création de l'univers. Par une approche scientifique, elle nous fait découvrir les mécanismes d'une seconde causalité, capable d'expliquer de nombreux phénomènes étranges comme la synchronicité, les coincidences extraordinaires et certaines intuitions salutaires. Elle est présentée dans un livre intitulé La Route du Temps, qui est à la fois un roman initiatique et un essai de vulgarisation scientifique. La Théorie de la Double Causalité ou TDC est en effet déduite de différentes interprétations de résultats de la physique moderne, en théorie du chaos, mécanique quantique, théorie de la relativité, physique statistique, etc.

La TDC reste cependant une théorie métaphysique parce qu'elle repose sur les deux postulats suivants:

-L'authenticité de notre libre arbitre: notre liberté n'est pas une illusion, nous faisons réellement des choix dans nos vies qui ne dépendent pas que du passé.
-L'omniprésence du futur: l'univers est déjà réalisé - partiellement - dans notre futur, selon des versions multiples permettant à notre destin de changer.

Ces deux postulats conduisent à faire émerger le rôle très important de l'intention dans la réalisation d'un destin individuel. Le pouvoir de l'intention réside dans la capacité d'un être humain à relever instantanément les probabilités d'occurence d'un destin choisi, au dépend d'un autre destin devenant alors moins probable. Tous ses futurs potentiels évoluent simultanément en fonction de leurs probabilités à l'intérieur d'un "Arbre de Vie" personnel.

La seconde causalité, inverse de la causalité habituelle ou encore rétrocausale, nous explique comment certaines causes peuvent parfois dériver de leurs effets, alors que les effets sont censés habituellement dériver des causes. Il s'agit d'une influence du futur sur le présent, qui n'est possible que dans un univers déjà réalisé où un déterminisme inversé est à l'oeuvre, analogue à la cosmologie top-down de Stephen Hawking.

Il s'ensuit que les probabilités d'occurence de certains effets, une fois grandies par l'intention, peuvent remonter le temps pour augmenter dans notre futur immédiat les probabilités d'émergence d'opportunités qui semblent en être les causes. Cela se traduit par des coincidences ou par la manifestation d'un hasard synchrone chargé de sens et d'autant plus surprenant qu'il laisse penser avec force à l'influence d'un certain "état d'esprit". La TDC confirme la justesse de cette intuition d'un lien acausal entre esprit et évènement dans les synchronicités, lien initialement introduit par Wolfgang Pauli (Prix Nobel de Physique) et Carl Gustav Jung.

Le point le plus intéressant de la Théorie de la Double Causalité est qu'elle se présente comme une théorie expérimentalement vérifiable, à la fois scientifiquement et personnellement: l'influence du futur sur le présent (ou rétrocausalité) a ainsi récemment fait l'objet d'une expérimentation scientifique publiée dans une revue très sérieuse, et la production volontaire de synchronicités a été personnellement vécue par l'auteur à l'occasion de plusieurs avalanches de coincidences dont certaines peuvent être considérées comme des preuves directes de la seconde causalité rétrocausale. En nous expliquant comment nous pouvons mentalement provoquer les coïncidences, et même en faire bon usage, Le livre la Route du Temps nous montre d'ailleurs de quelle façon la TDC peut se prêter à des expériences reproductibles.

Ce livre nous montre enfin que la réponse édifiante qu'elle nous apporte sur le mécanisme des synchronicités ne se limite pas ce champ d'application, et que la TDC permet de lever le voile sur beaucoup d'autres phénomènes mystérieux qui traversent les siècles en défiant la raison humaine.

Pour en savoir plus: http://zone-7.net/v3/autres-textes/la-t ... pirituelle
http://www.doublecause.net/theorie.php?smenu=1
Ted
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Le Projet de conscience Globale

Message par Ted »

Extrait d'un article de zone 7, au sujet d'une expérimentation scientifique qui tend à prouver l'existence d'une "conscience collective" et son influence sur la matière (à l'échelle microscopique / quantique): http://zone-7.net/v3/articles/le-projet ... ce-globale

Image

La petite sphère colorée à l’apparence anodine (en haut à gauche) n’est rien de moins qu’un indicateur en temps réel du niveau de cohérence de la conscience collective humaine! Et ce n’est pas une blague. Difficile à croire? Et pourtant, cette petite sphère est tout ce qu’il y a de plus scientifique, car elle est le résultat de plus de 30 années de recherches effectuées à l’Université de Princeton et représente l’une des grandes percées scientifiques modernes.

Quoique son fonctionnement demeure inexpliqué, l’influence de la conscience humaine sur son environnement est désormais indéniablement prouvée. Oui, les émotions humaines ainsi que l’intention dirigée affectent de façon tangible et mesurable notre environnement.

Mais cette petite sphère colorée, issue du Projet de Conscience Globale, ne fait pas qu’indiquer le niveau de cohérence de la conscience collective, elle peut aussi, dans une certaine mesure, servir à prédire le futur!

LE PROJET DE CONSCIENCE GLOBALE : HISTORIQUE ET FONCTIONNEMENT
(Traduction libre et partielle de l’article : Can this black box see in the future ?)

Le Projet de Conscience Globale, né en 1998, est un effort collectif d’ordre international impliquant un nombre toujours grandissant de chercheurs (actuellement au-delà de 75 scientifiques de renom provenant de plus de 41 pays) et ayant pour but d’explorer la possibilité de valider scientifiquement, à l’aide de générateurs de chiffres aléatoires, l’existence d’une conscience collective humaine ainsi que ses « sautes d’humeur ».

L’historique des recherches scientifiques en laboratoire sur l’interaction entre la conscience humaine et de son environnement remonte à la fin des années 60, mais de façon plus générale, ce sont les travaux du professeur Robert Jahn de l’Université de Princeton, vers la fin des années 70, qui donna naissance au Projet de Conscience Globale. Intrigué par des phénomènes tels que la télépathie, la télékinésie et les perceptions extrasensorielles, il fut l’un des premiers hommes de sciences modernes à s’intéresser sérieusement à ces phénomènes et devint un pionnier dans l’étude de ceux-ci via les technologies de pointe de l’époque. Une de ces technologies consistait (et consiste toujours) en un petit circuit électronique générant, de façon totalement aléatoire, deux chiffres : soit des 1, soit des 0. Ce circuit agit donc simplement comme un « pile ou face » électronique. Les résultats pouvaient alors être compilés et représentés sous forme de graphique. Sachant très bien que de façon aléatoire, sur un échantillon de bonne taille, la quantité de 0 et la quantité de 1, selon les lois de la probabilité, seraient à peu de choses près équivalents, cet appareil pouvait alors être aisément utilisé comme un outil de mesure sérieux.

MAIS MESURER QUOI EXACTEMENT?

Déterminé à explorer la possibilité de l’influence de la conscience humaine sur le « bon » fonctionnement de ces petits circuits électroniques, le professeur Jahn entrepris d’interpeller des gens dans la rue et de leur demander de se concentrer sur le circuit et de consciemment émettre l’intention de lui faire générer soit davantage de 1, soit davantage de 0.

Les résultats furent déroutants et n’ont, jusqu’à ce jour, jamais été expliqués de façon satisfaisante. Expérience après expérience, à tout coup les résultats montraient une déviation significative de la norme 50-50% : les résultats émis par le circuit électronique devenaient moins aléatoires, donc plus cohérents. Selon toutes les lois scientifiques connues, ceci n’aurait jamais dû se passer et, pourtant, continuait de se passer encore et encore. De plus, des expériences de la sorte ont été réalisées à distance avec des résultats similaires!

C’est à ce moment que le docteur Nelson, qui travaillait aussi à l’Université de Princeton, décida de porter l’expérience plus loin en utilisant le générateur de chiffres aléatoires dans des méditations de groupes (populaires dans les années 70) et fut renversé par les résultats : des déviations spectaculaires étaient alors enregistrées.

QU’EN CONCLURE?

L’interaction de la conscience humaine avec la machine n’était donc plus une théorie, mais un fait bien établi, quoique inexpliqué par la science traditionnelle.

Un jour, le docteur Nelson eut la brillante idée de relier jusqu’à 40 de ces générateurs de chiffres aléatoires sur Internet, les laissant ainsi produire quotidiennement des millions de données. Ces données, une fois recueillies, donnaient généralement le résultat attendu, c’est-à-dire que 50% des chiffres générés étaient des 1 et 50% des 0.

Mais le 6 septembre 1997, un événement surprenant se produisit : les machines enregistrèrent un soudain changement remarquable, une énorme déviation était enregistrée par tous les appareils autour du globe. Cette journée s’avérait historique pour une autre raison : environ un milliard de personnes à travers le monde regardaient les funérailles de la princesse Diana.

Était-ce possible que les dispositifs du docteur Nelson aient capté l’émoi collectif d’un grand nombre de personnes? C’est suite à cet événement qu’en 1998 il rassembla des hommes de science à travers le monde pour étudier de près cette possible découverte. Ainsi naquit le Projet de Conscience Globale qui élargit alors le réseau des générateurs de chiffres aléatoires à plus de 65 dispositifs, et ce, dans 41 pays.

Les résultats de cette entreprise furent des plus surprenants puisque, au cours de cette expérience, les appareils ont « ressenti » plusieurs événements mondiaux majeurs : du bombardement de la Yougoslavie par l’OTAN, en passant par la tragédie du sous-marin Kursk, jusqu’aux élections présidentielles des États-Unis de 2000. De plus, les dispositifs détectaient les grandes célébrations telles que l’arrivée de la nouvelle année.

Mais l’événement le plus fascinant fut celui des « attentats » du 11 septembre 2001. Non seulement les appareils ont enregistré l’événement lors de son déroulement, mais les déviations au comportement aléatoire de ces petits circuits électroniques ont débuté pas moins de quatre heures avant que les avions ne frappent les tours du WTC. Ils auraient donc « su » qu’un événement historique était pour avoir lieu avant même que celui-ci se déroule réellement.

Une coïncidence ? Un événement isolé ? Il semblerait bien que non, puisque dans les dernières semaines de décembre 2004 les dispositifs ont une fois de plus grandement dévié de leur course aléatoire normale. Vingt-quatre heures plus tard, un tremblement de terre déclencha le Tsunami qui a dévasté l’Asie du Sud et emporté avec lui environ 250 000 vies humaines.

Serait-ce donc possible que le réseau de générateurs de chiffres aléatoires du PCG puisse sentir et/ou prédire le futur?

Bien sûr, on pourra facilement s’opposer à ces conclusions en argumentant qu’il est aisé d’attribuer un événement majeur à chaque soubresaut marqué des dispositifs, notre monde étant rempli de guerres et de cataclysmes, mais l’équipe derrière ce projet insiste sur le fait que des techniques scientifiques rigoureuses permettent d’exclure de telles conjonctures aléatoires. « Nos données démontrent clairement que les chances d’obtenir ces résultats sont de une contre un million » affirme le docteur Nelson. Et aussi étrange que cela puisse paraître, rien des lois de la physique n’exclut la possibilité de » voir » dans le futur!

Il est possible, en théorie, que le temps ne s’écoule pas seulement dans un sens (vers le futur), mais bien dans les deux sens à la fois (vers le passé aussi). Et si le temps se propage comme une onde, il pourrait bien être possible de « prédire » les événements mondiaux majeurs. En effet, nous nous souviendrions d’un événement qui a déjà pris place dans notre futur.

« Il existe un certain nombre de données indiquant que le temps puisse se dérouler à l’envers », affirme le professeur Bierman de l’Université d’Amsterdam.

« Et s’il est possible que cela se produise en physique, cela peut aussi se produire dans notre esprit. » En d’autres termes, le professeur Bierman croit que nous serions tous capables de voir le futur si nous étions en mesure d’accéder aux facultés cachées de notre cerveau. Et il existe amplement de données pour supporter cette théorie.

Le docteur John Hartwell, qui travaillait à l’Université d’Utrecht, fut le premier à recueillir des données indiquant que les gens pouvaient pressentir le futur. Dans le milieu des années 70, il relia des gens sur les scanners de l’hôpital afin d’étudier la structure des ondes cérébrales. Il commença alors à leur présenter des illustrations provocatrices. Les scanners enregistraient les ondes cérébrales alors que les sujets réagissaient fortement aux images qui leur étaient présentées. Ceci était anticipé.

Mais de loin moins aisé à expliquer était le fait que dans plusieurs cas les scanners commençaient à enregistrer les variations structurales des ondes cérébrales quelques secondes avant même que les images aient été présentées!

Tout semblait indiquer que certains sujets du docteur Hartwell arrivaient naturellement à « pressentir » la prochaine image qui leur serait dévoilée, c’est-à-dire qu’ils arrivaient à percevoir le futur.

C’était extraordinaire et pourtant complètement inexplicable.

Mais il aura fallu attendre encore 15 ans avant que quelqu’un d’autre porte les travaux du docteur Hartwell de l’avant. C’est le chercheur américain Dean Radin qui relia des personnes à une machine qui mesurait la résistance électrique de la peau. Celle-ci est reconnue pour varier en intensité selon l’humeur, c’est d’ailleurs sous ce principe que fonctionne une bonne partie des détecteurs de mensonges.

Radin a donc répété l’expérience du docteur Hartwell de « réponse aux images » en mesurant la résistance électrique de la peau de ses sujets. Encore une fois, certaines personnes commençaient à réagir quelques secondes avant même que les illustrations leur soient présentées. Ceci semblait impossible mais, expérience après expérience, les résultats demeuraient les mêmes.

« Je n’y croyais pas non plus », dit le professeur Bierman. « Alors, j’ai répété l’expérience moi-même et j’ai obtenu les mêmes résultats. J’étais bouleversé. Après cela, j’ai commencé à penser plus profondément à la nature du temps. » Il ajoute que plusieurs laboratoires « officiels » ont produit des résultats similaires, mais ne les ont pas encore rendus publics.

QU’EN RETIRE-T-ON?

Ces résultats peuvent devenir une base solide à l’explication des phénomènes inexpliqués tels que le « déjà vu », l’intuition et une horde d’autres étrangetés que nous vivons de temps à autre. Ceci ouvre aussi la porte à d’autres possibilités, par exemple, nous pourrions peut-être construire des machines capables d’amplifier nos pouvoirs psychiques de la même façon que nous bâtissons des appareils pour amplifier nos sens tels que la vue et l’ouïe.

Le docteur Nelson, du Projet de Conscience Globale, est optimiste, mais pas à court terme. « Nous pourrons possiblement être en mesure de prédire qu’un événement mondial majeur va se produire, mais nous ne saurons pas ce qui va se produire ni où cela va se dérouler. »

« Prenez-le ainsi : nous n’avons pas encore un appareil que nous pourrions vendre à la CIA. »

REVENONS À NOTRE SPHÈRE

À ce jour, il existe plus de 100 générateurs de chiffres aléatoires dispersés aux quatre coins du globe (en admettant que celui-ci soit carré ;-) ), fonctionnant 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, produisant ainsi une impressionnante quantité de données. Le tout est relié à un serveur central, recueillant et compilant toutes ces données. Et maintenant nous ajoutons à cela un petit bout de code informatique traduisant l’ensemble de ces données, c’est-à-dire le niveau de cohérence moyen, en attribuant une couleur à l’image d’une sphère, et nous voilà avec un indicateur en temps réel du niveau de cohérence de la conscience collective humaine !

Développée par Brad Anderson, la sphère se fera attribuer la couleur verte lorsque la norme 50-50 est présente, c’est-à-dire lorsque les données émises sont aléatoires, donc « normales ». Toute déviation majeure, soit vers le bleu, soit vers le rouge est considérée comme importante.

Il est à noter, par contre, que cet indicateur ne peut pas être considéré comme un outil fiable de prédiction et/ou d’interprétation, car il ne reflète la compilation que de quelques minutes ou quelques heures de données. Des méthodes d’analyses plus complexes prouvent qu’un si petit échantillon ne peut pas être pertinemment perçu comme un signal, car sans une quantité de données plus volumineuse, il est impossible de savoir si la déviation n’est qu’un « bruit » ou si elle fait réellement partie d’une tendance significative. Notons aussi que la coloration de la sphère accuse un retard évalué à 10 minutes dû à la transmission, la compilation et le calcul des données.

N’en reste pas moins que la sphère du PCG est la représentation graphique de la cohérence de la conscience collective, ce n’est pas peu dire !

EN CONCLUSION

Les répercussions engendrées par une telle étude sont énormes. La vision matérialiste habituelle des sciences doit être complètement révisée. D’ailleurs le concept du » point de vue de l’observateur » de la mécanique quantique prend ici tout son sens puisque l’observateur est intrinsèquement lié au résultat de son expérience, car il l’influence dans une certaine mesure. Dans un autre ordre d’idées, il nous faut alors courageusement réévaluer le concept de responsabilité personnelle puisque nos propres intentions et émotions affectent directement notre environnement, et ce, d’une façon beaucoup plus subtile que la causalité telle que nous la concevons habituellement. Demeurer en « contrôle » de notre propre état, à la façon des enseignements traditionnels, devient notre première planche de salut vers une vie réellement responsable.

Mais si cette réalisation apporte son lot de remises en question, elle dévoile aussi une mer de nouvelles possibilités.
Ted
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Extraits d'une thèse de Doctorat sur l'étude des expériences de mort imminente (EMI): lien
Les problèmes de modélisation des expériences de mort imminente - Etude des objections et création d’un système épistémologique pour comprendre l’émergence d’un nouveau paradigme.

Ludovic.Pannatier@unil.ch
Doctorant à l’Université de Lausanne
Vernamiège, mars 2010
Les expériences de mort imminente (EMI) nous permettent de mieux comprendre l’espace et le temps. A mon sens, l’erreur primordiale de la métaphysique occidentale a été de vouloir réduire le temps à du mouvement, ou tout au moins le comparer à un certain type de mouvement. Aristote propose dans Physique une définition du temps comme « le nombre d'un mouvement selon l'antérieur et le postérieur. » (219 b 1-2) Le temps se définirait donc grâce à l’avant et l’après, par analogie au mouvement. Cependant, le temps n’a rien à voir avec le mouvement, il est au-delà du mouvement. Il ne se définit pas comme un mouvement, mais il rend le mouvement possible. Quand nous parlons du temps, nous nous le représentons comme un espace, comme un vecteur qui occupe un espace particulier. Les frises historiques donnent au temps un sens, un ordre. Dans le fond, le temps n’a pas de sens. Nous retrouvons ici l’idée bergsonienne selon laquelle nous sommes obligés de spatialiser le temps pour vraiment le saisir. J’irai encore plus loin : le temps ne pourra jamais être un espace dans notre dimension, car il englobe les trois dimensions spatiales.

Il ne peut devenir un espace seulement si nous sortons de notre quatrième dimension pour entrer dans une cinquième dimension qui l’engloberait – comme dans le modèle de Jean-Pierre Jourdan. C’est justement ce que décrivent les expérienceurs quand ils parlent de leur revue de vie. Ils peuvent saisir le temps comme une forme géométrique, justement parce qu’ils sont hors du temps. Etre jetés dans une nouvelle dimension nous permet enfin de saisir ce que nous ne pouvions comprendre, avec une lucidité jamais éprouvée. Notre vie apparaît devant nous, comme une unité* – unité qui n’est pas donnée mais qui a été créée, avec ce que nous avons étés, les impressions de ceux que nous avons blessés, ce que nous n’avons pas étés et que nous aurions pu être. Il faut comprendre que la revue de vie va beaucoup plus loin qu’un simple film. Le jugement serait opéré par nous-mêmes. Nous aurions connaissance de la totalité de notre existence avec toutes les conséquences induites. Notre lucidité nous permettrait de faire corps avec la scène observée. C’est comme si le spirituel et le scientifique se rejoignaient, comme si l’être pouvait tout comprendre et tout appréhender avec ses qualia propres, faisant l’expérience d’une liberté absolue.

* Cette constatation est étonnante, d’autant plus que notre passé est rempli de néants, de trous noirs, quand nous y repensons. Des pans entiers ont disparus de notre mémoire. De plus, la remémoration est toujours liée à un effort qui disparaît lors des EMI. Les souvenirs ont une netteté jamais éprouvée.

(...) Dans les EMI, les expérienceurs comprennent le temps car, selon l’hypothèse de Jean-Pierre Jourdan, ils sont en dehors du temps. Le temps peut être problématisé, il devient quelque chose vu de l’extérieur. Dans le fond, il peut enfin devenir une forme, être palpable, se géométriser. Cependant, il suffit de réintégrer son corps pour que cette possibilité redevienne une chimère. Le temps passe, mais il n’est plus du mouvement, il n’est plus de l’espace – si ce n’est dans nos têtes qui veulent à tout prix se le représenter. Comme le montre Bergson, le passé et le futur n’existent pas. Le passé n’est plus là, il est repensé à un instant précis. Le futur, quant à lui, n’existe jamais, car il n’est qu’une projection. Cette projection est ce qui nous rend pleinement humains.

(...) Nous sommes comme enfermés dans quelque chose qui n’a pas de limites (il faut sortir de notre dimension pour en voir les limites). Selon Kant, le temps est ce qui rend toute expérience possible, il est plus fondamental que l’espace, car il est une forme du sens intérieur. Je pense que si nous spatialisons le temps, c’est pour mieux avoir l’impression de le connaître et de nous connaître. Nous voulons en faire un objet qui nous permette de nous saisir comme une unité.

(...) Ce qui est étonnant dans les EMI, c’est justement que cette vie semble s’épanouir, alors que le corps est reconnu comme mort. Les expérienceurs décrivent leur vie comme une vie ultime, beaucoup plus intense, avec une objectivité parfaite. Kenneth Ring a étudié les expériences d’aveugles et montré à quel point ce qui était décrit comme étant un sens de la vue n’était en réalité qu’une métaphore pour parler d’un accès direct aux choses. La mort semble lever le voile sur cette existence que notre corps cacherait dans son immanence. En plus de cela, les EMI questionnent tout ce qui nous rend possible, jusqu’au beau. L’esthétique est centrale dans les témoignages. C’est comme si, dans le fond, une connaissance ultime serait capable d’accéder à l’objet dans toute sa beauté, sans le réduire pour autant à des chiffres...
Ted
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Re: Théories Physiques et Métaphysiques

Message par Ted »

difficile de distinguer quelles sont les "vraies" lettres des "fausses". Y-en a t-il seulement des "vraies"?

Je ne le sais pas, mais elles contiennent des choses qui lorsqu'elles sont comparées à certains développement récents, prennent une toute autre dimension, digne d'intérêt. A moins de penser à une "heureuse coincidence" ou à un talent de clairvoyance des auteurs, cela suggère que ceux qui les ont écrites bénéficient bien d'une avance sur la science académique.

Pour l'autre question, je dois y répondre par l'affirmative: j'ai des récits de coincidence très fournis, qui peuvent être vu comme de la précognition ou de la télépathie. Si je ne m'en remet pas uniquement au hasard qui peut pragmatiquement expliquer certaines redondances des "coincidences" mais par des probabilités d'occurence quasi-nulles, certaines de mes expériences s'expliquent bien par d'autres approches, comme celle du champ psyché quantique. J'ai aussi vécu une expérience de sorti du corps qui m'a profondément bouleversé et questionné. C'est - peut-être - l'une des raisons pour laquelle je m'intéresse de près à ce sujet, ainsi qu'aux développements de la parapsychologie et de la physique théorique "border-lines" (en plus de la physique universitaire).

Mais ce n'est pas la bonne catégorie pour nous attarder sur mon vécu. Je préfère que nous commentions ou enrichissions les réflexions exposées plus haut.
Le point le plus intéressant de la Théorie de la Double Causalité est qu'elle se présente comme une théorie expérimentalement vérifiable, à la fois scientifiquement et personnellement: l'influence du futur sur le présent (ou rétrocausalité) a ainsi récemment fait l'objet d'une expérimentation scientifique publiée dans une revue très sérieuse,

<REF DEMANDEES>
Là: Feeling the Future: Experimental Evidence for Anomalous Retroactive Influences on Cognition and Affect
Daryl J. Bem
Cornell University.

Merci pour votre participation,
Ted.

PS: je ne connais pas suffisamment la théorie de L. Nottale pour m'exprimer sur sa pertinence. Je m'abstiens donc de la commenter.
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AJA
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Re: Théories Physiques et Métaphysiques

Message par AJA »

T'AIDE A ÉCRIT
, difficile de distinguer quelles sont les "vraies" lettres des "fausses". Y-en a t-il seulement des "vraies"?



deux forces s'opposent dans l'univers , l'entropie et la néguentropie, soit l'évolution suis la voie de la néguentropie avec respect et service du principe générateur , et alors nous sommes partie intégrante de ce principe LA VIE
soit l'évolution suit la voie de l'entropie , avec ignorance et non respect du principe générateur , et alors nous nous éloignons de ce principe CHAOS

certains peuples ont visiblement suivis cette seconde voie , et ne savent pas comment enrayer leur déclin inéluctable , étant coupés de la source originel , ils leur faut alors des moyens de compenser ce manque

qu'il y ais de vrais courriers ne fais aucun doute ,et il est facile de faire la part des chose lorsque l'on prend en compte , le but des aliens manipulateurs , en quête d'énergie et de solutions génétiques ,

la ou les peuples ayant évolués dans le principe générateur , souhaiteraient nous conduire a la vie les autres feront tout pour nous en éloigner

fraternellement aja
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
kithia

Re: Théories Physiques et Métaphysiques

Message par kithia »

Bonjour toutes et tous,

Une petite photo d'artiste trouvé sur google.
Un multivers rempli de bulles de WAAM et de "lumières".
Dans ces bulles des lumières brillent intensement des WAAM B.B surement :shock:
Image
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Message par AJA »

BONJOUR T'AIDE il est primordial de préciser que deux choses sont a prendre en compte , d'un coté les actes commis de façon inconsciente par l'esprit dont nous ne sommes pas responsables , et les décisions prises de façon réfléchie,la puissance de l'esprit ne fais aucun doute ,mais notre monde ne nous apprend pas ces valeurs.
donc l'important est la prise en compte de nos responsabilité dans ce principe générateur , et de notre véritable nature d'acteur universel par delà notre condition physique '(*_*)'





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Message par AJA »

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Re: Théories Physiques et Métaphysiques

Message par AJA »

voilà: c'est une réponse (de aja) qui est concise et simple mais de mon point de vue et sur ce mode quelque peu incantatoire,
il y'a tout de même un point de vue sur les choses que je trouverais quelque peu difficile à avaler , si je n'avais pas
déjà une large expérience de la manière dont cela doit être pris et assumé


il serait une erreur de voir les choses sous cet angle , il n'y a rien d'incantatoire dans mes postes, ce qui pourrait le paraitre ,viens simplement de véritables constatations effectives et physiques ,sur la réalité de l'énergie du vivant , et les enjeux universels en ce sens ,ne semblent pas êtres pris en compte par la majorité , donc il parait très utile de le répéter souvent

ce qui peut ,il est vrais passer aux yeux de certains pour du mysticisme '(*_*)'

Oeuvre_Lavoisier_p499[1] Copy.pdf
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NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS POTENTIELLEMENT APTES, A RETROUVER CETTE ÉNERGIE ORIGINELLE SANS LAQUELLE NOUS SOMMES DES ENFANTS AU VOLANT D'UN BOLIDE QU'ILS SONT TOTALEMENT INCOMPÉTENTS A DIRIGER ,AVEC LES CONSÉQUENCE DÉSASTREUSES QUE CELA IMPLIQUE [/size]
Fichiers joints
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Message par AJA »

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