La (méta)physique oummite regroupe 4 notions majeures :
- Dieu existe, en tant qu'être nécessaire ;
- L'univers est composé d'une multitude d'univers différents. En réalité le pluriunivers est unitaire, mais composé d'une multitude d'aspects différents que l'on traduit, nous êtres humains, par des univers différents. La différence principale qui caractérise les univers entre eux provient de la vitesse de la lumière en leur sein, qui s'échelonne entre 0 et l'infini. Ces univers vont par paire, ils sont conjugués deux à deux. L'univers se dit WAAM, le pluriunivers se dit WAAM-WAAM : univers d'univers.
- L'âme existe (BUAWA) : elle se situe dans un autre univers, celui dont la vitesse de la lumière est nulle ;
- Un autre univers essentiel existe : l'univers des Consciences Collectives (WAAM BUAWE BIAEI ). Sa vitesse limite est infinie, sa masse est également infinie. C'est à la fois la demeure des âmes désincarnées, ce qu'on appelle l'au-delà - lui même à la fois paradis, purgatoire et enfer - et c'est aussi l'inconscient collectif que nous abreuvons en permanence et qui nous nourrit en retour d'informations subliminales capitales pour notre évolution.
Les lettres nous enseignent que:
- Premièrement, nous devons abandonner nos concept d'espace-temps scalaire (les grandeurs x, y, z et t que nous considérons comme des nombres réels) au profit d'une conception où ces grandeurs sont non seulement quantifiées mais de plus sont des grandeurs angulaires et non scalaires.
- Deuxièmement, l'univers (le WAAM-WAAM) est constitué d'une infinité de paires de cosmos qui diffèrent entre eux par la valeur vitesse de la lumière. Ceci est cohérent avec les travaux de Jean-Pierre Petit qui a montré (et publié dans des revues scientifiques de haut niveau) que :
- Le fait que chaque cosmos possède un cosmos jumeau est en adéquation parfaite avec la relativité restreinte (ce qui avait été montré par Sakharov), et de plus la présence de matière-ombre (et non matière sombre) dans l'univers jumeau permet d'expliquer la stabilité des galaxies et la source d'énergie des quasars sans faire appel a l'hypothèse de l'existence des trous noirs. L'univers jumeau est P-symétrique, T-symétrique et C-symétrique. Il n'interagit avec l'autre cosmos de la paire que par la gravitation, avec un signe - dans la constante de couplage. Contrairement à une opinion répandue, on peut dans le cadre d'une théorie de jauge faire varier la vitesse de la lumière en restant compatible avec la relativité : le fait que ce soit une théorie de jauge implique que toutes les constantes c,G,h,R... varient simultanément selon des lois de jauge (explicitées par Jean Pierre Petit). Par ailleurs il est impossible de se rendre compte, au moyen d'appareils de mesure, de cette variation car les "règles" avec lesquelles nous pourrions faire cette mesure suivent elles aussi les lois de jauge.
- Quatrièmement, le "cadre" de chaque cosmos est pentadimensionel. Ceci est cohérent avec la relativité d'échelle de L. Nottale (la cinquième dimension est alors l'échelle). Moyennant une multiplication par deux du nombre de dimension à l'aide d'une symétrie (qui pourrait être le groupe de symétrie E8), ceci cadre également avec la théorie des supercordes, en particulier la variante 'hétérotique E8xE8'.
Existe-t-il des théories, ultérieures à celle exposée dans les lettres, qui tendraient à confirmer son contenu?
Outre les travaux célèbres du physicien et astro-physicien Jean-Pierre Petit - qui a réussi notamment a introduire le second univers couplé dans l'équation de champ d'Einstein, l'équation fondamentale de la cosmologie, d'après les indications portées sur les lettres oummites - d'autres physiciens de par le monde ont tenté de transformer ces indices en science de qualité. Une liste spécialisée en physique sur le site ummo-sciences.org a permis l'échange d'idées et bien que certains scientifiques craignent de divulguer leur véritable identité, et de mêler le nom d'Oummo à leurs travaux, d'autres ont publié leurs résultats. C'est le cas du canadien Benedictus Servant par exemple qui a réussi à reformuler la théorie des IBOZOO UU, qu'il a nommé nœuds d'axes orientés, et à retrouver les résultats de la Relativité restreinte : vitesse de la lumière déduite de l'inversion des axes d'espace et de temps, dilatation du temps, contraction des longueurs.
Mais d'autres modèles scientifiques se tournent vers l'idée d'un "ordre caché" ou d'une réalité que nous n'aurions pas encore saisie, largement décrite dans les lettres ummites. La science bute en effet encore aujourd'hui sur cet incroyable défi pour la raison humaine que représente l'observation avérée de certains phénomènes étranges car ne possédant aucune cause apparente. Il s'agit de synchronicités ou coincidences dont la forte improbabilité laisse à penser qu'elles ne sont pas dues au hasard. La pensée rationnelle dominante ne sait aujourd'hui y répondre qu'en invoquant le hasard et la subjectivité de l'observateur, mais cela n'explique rien, car le caractère étrange de ces phénomènes ne provient pas de leur subjectivité mais de leur forte improbabilité. Le fait de mettre systématiquement cette improbabilité sur le compte du hasard lui-même en prétendant qu'il n'y a aucune explication à rechercher est une erreur, voire un sophisme, qui provient au mieux d'une méconnaissance des lois de la statistique, au pire d'une foi aveugle dans le caractère abouti de la science et de la logique causale. Bien qu'il soit juste et sain d'invoquer en première hypothèse le hasard face à de tels phénomènes, il devient erroné et naïf de maintenir envers et contre tout l'hypothèse du hasard, en présence de cas où elle ne résiste pas au calcul des probabilités.
Depuis des décennies, de nombreux auteurs ont cherché à trouver d'autres explications, et ont proposé différentes théories alternatives au hasard:
- - Théorie de l'Acausalité de C.G. Jung et W.E. Pauli (1952): L'inconscient collectif et sa manifestation non causale;
- Théorie de l'Ordre Implicite de David Bohm (1980): Idée que la réalité s'implie ou se déplie comme un hologramme;
- Théorie des Champs Morphiques de Rupert Sheldrake (1988): Concept de causalité formative (pensées agissantes);
- Théorie de l'Ordre Caché de David Peat (1988): Synthèse des approches reliant la synchronicité et la mécanique quantique;
- Théorie des Hasards Nécessaires de Jean-François Vezina (2001): Synchronicité relationnelle (approche expérimentale);
- Théorie de la Psyché Quantique de François Martin (2004): Synchronicité et intrication quantique du psychisme;
- Théorie du Champ Akashique de Ervin Laszlo (2004): Champ d'informations sous la manifestation du réel;
- Théorie de la Rétrocausalité Quantique de Holger Bech Nielsen et al. (2008): Rétrocausalité (influence du futur sur le présent);
- Théorie de la Double Causalité de Philippe Guillemant (2009): Déterminisme inversé et loi de convergence des parties (loi d'attraction).
Théorie des Champs Morphiques de Rupert Sheldrake :
La morphogénèse sheldrakienne est censée toucher toutes les formes auto-engendrées, des cristaux aux embryons, du langage à nos comportements. Vaste ambition, que les sciences modernes ne peuvent intégrer autrement que de façon heuristique (comme un jeu qui fait réfléchir).
Acceptée telle quelle, la résonnance morphique remettrait en cause toutes les disciplines contemporaines.
Dans son premier livre, Une nouvelle science de la vie (1981), le jeune biologiste de Cambridge essayait encore fougueusement de tout prouver par A plus B, citant moultes expériences frappantes, tant sur les cristaux que sur les rats ou sur les humains.
Dans le second livre, Presence of the Past (1988, traduit La mémoire de l’Univers), on note une maturation. Rupert Sheldrake affirme son anglicité : tout de vient question d’habitude, de coutume. La lumière se déplace à 300000 km/s ? C’est parce qu’elle a pris cette habitude ! Rien n’est immuable. Tout bouge, évolue. Nous sommes influencés par des "champs de forme" depuis l’hors-espace-temps, mais nous influençons ces champs en retour - comme si l’idée divine nous modelait tout en étant modelée par nous en permanence.
Avec son troisième livre enfin, The rebirth of Nature (1991, traduit L’âme de la nature), le chercheur s’offre un melting pot philosophique. Après deux cents ans de mécanisme forcené, dit-il, on a voulu mordicus comparer la nature à nos machines, la transformant en un enchevêtrement de structures inertes, et voilà que s’annonce un nouvel animisme. La nature a une âme ! Une âme sexuée et divine. Nous le savons intimement. Que des savants puissent en refaire le coeur de leur art a de quoi nous faire chanceler de joie.
Théorie de l'Ordre Implicite de David Bohm :
La théorie de l'Ordre Implicite (ou encore implié, caché...) suppose que le comportement des particules élémentaires est à tout instant déterminé par une description d'un ordre supérieur, non observable dans notre espace temps ordinaire à 4 dimensions. En ce sens elle rejoint la théorie des cordes qui fait appel à des dimensions supplémentaires de l'espace, qualifiées de dimensions invisibles, car extrèmement petites ou encore repliées sur elles-mêmes.
Le problème de cette hypothèse est qu'elle est à priori en contradiction avec les conclusions de la mécanique quantique, vérifiées depuis 1982 par l'expérience d'Alain Aspect, suivie de bien d'autres, selon lesquelles il ne peut exister de variables cachées qui détermineraient le comportement apparemment aléatoire des particules.
Cependant, en unifiant la mécanique quantique et la relativité générale d'Einstein, la théorie des cordes nous propose un modèle cohérent de l'univers dans lequel il existerait bien un ordre supérieur caché, qui serait contenu dans des dimensions supplémentaires de l'espace embobinées dans un espace de Calabi-Yau, décrivant les propriétés de vibration des cordes et notamment leurs formes géométriques.
Le comportement des particules ne serait donc pas déterminé par des variables cachées faisant partie de notre espace-temps ordinaire mais par des informations extérieures à cet espace-temps, qui seraient contenues dans des dimensions spatiales supplémentaires.
Or les conclusions de David Bohm conduisent au solipsisme, cette philosophie selon laquelle le Monde est dans l'esprit de celui qui l'observe, et serait ainsi indissolublement relié à, voire dépendant de, notre psyché: Tout est dans tout, nous dit-il, la masse, l'énergie contiennent des informations sur l'univers tout entier. Quand un son ou une lumière parvient jusqu'à nous, que la conscience les reconnaît, nos organes sensoriels sont confrontés à tout l'Univers. Nous devenons le sujet de notre étude, l'observateur s'observe.
On peut alors s'avancer à conclure, si ces intuitions sont fondées, que ces dimensions supplémentaires de l'espace pourraient être intimement liées à notre psyché, à notre esprit, en tant qu'entité douée de la propriété de nous rendre observateur de l'univers. Cette idée est reprise dans la théorie de la double causalité, dans le but d'expliquer le mécanisme des synchronicités.
Le phénomène de synchronicité serait alors l'une des rares manifestations concrètes de l'"ordre caché" de l'univers.
Théorie de la Double Causalité de Philippe Guillemant :
La Double Causalité est le concept fondateur d'une Théorie de la Synchronicité qui fait émerger naturellement l'Esprit (ou l'âme) d'une nouvelle conception du temps dévoilant un processus subtil de co-création de l'univers. Par une approche scientifique, elle nous fait découvrir les mécanismes d'une seconde causalité, capable d'expliquer de nombreux phénomènes étranges comme la synchronicité, les coincidences extraordinaires et certaines intuitions salutaires. Elle est présentée dans un livre intitulé La Route du Temps, qui est à la fois un roman initiatique et un essai de vulgarisation scientifique. La Théorie de la Double Causalité ou TDC est en effet déduite de différentes interprétations de résultats de la physique moderne, en théorie du chaos, mécanique quantique, théorie de la relativité, physique statistique, etc.
La TDC reste cependant une théorie métaphysique parce qu'elle repose sur les deux postulats suivants:
-L'authenticité de notre libre arbitre: notre liberté n'est pas une illusion, nous faisons réellement des choix dans nos vies qui ne dépendent pas que du passé.
-L'omniprésence du futur: l'univers est déjà réalisé - partiellement - dans notre futur, selon des versions multiples permettant à notre destin de changer.
Ces deux postulats conduisent à faire émerger le rôle très important de l'intention dans la réalisation d'un destin individuel. Le pouvoir de l'intention réside dans la capacité d'un être humain à relever instantanément les probabilités d'occurence d'un destin choisi, au dépend d'un autre destin devenant alors moins probable. Tous ses futurs potentiels évoluent simultanément en fonction de leurs probabilités à l'intérieur d'un "Arbre de Vie" personnel.
La seconde causalité, inverse de la causalité habituelle ou encore rétrocausale, nous explique comment certaines causes peuvent parfois dériver de leurs effets, alors que les effets sont censés habituellement dériver des causes. Il s'agit d'une influence du futur sur le présent, qui n'est possible que dans un univers déjà réalisé où un déterminisme inversé est à l'oeuvre, analogue à la cosmologie top-down de Stephen Hawking.
Il s'ensuit que les probabilités d'occurence de certains effets, une fois grandies par l'intention, peuvent remonter le temps pour augmenter dans notre futur immédiat les probabilités d'émergence d'opportunités qui semblent en être les causes. Cela se traduit par des coincidences ou par la manifestation d'un hasard synchrone chargé de sens et d'autant plus surprenant qu'il laisse penser avec force à l'influence d'un certain "état d'esprit". La TDC confirme la justesse de cette intuition d'un lien acausal entre esprit et évènement dans les synchronicités, lien initialement introduit par Wolfgang Pauli (Prix Nobel de Physique) et Carl Gustav Jung.
Le point le plus intéressant de la Théorie de la Double Causalité est qu'elle se présente comme une théorie expérimentalement vérifiable, à la fois scientifiquement et personnellement: l'influence du futur sur le présent (ou rétrocausalité) a ainsi récemment fait l'objet d'une expérimentation scientifique publiée dans une revue très sérieuse, et la production volontaire de synchronicités a été personnellement vécue par l'auteur à l'occasion de plusieurs avalanches de coincidences dont certaines peuvent être considérées comme des preuves directes de la seconde causalité rétrocausale. En nous expliquant comment nous pouvons mentalement provoquer les coïncidences, et même en faire bon usage, Le livre la Route du Temps nous montre d'ailleurs de quelle façon la TDC peut se prêter à des expériences reproductibles.
Ce livre nous montre enfin que la réponse édifiante qu'elle nous apporte sur le mécanisme des synchronicités ne se limite pas ce champ d'application, et que la TDC permet de lever le voile sur beaucoup d'autres phénomènes mystérieux qui traversent les siècles en défiant la raison humaine.
Pour en savoir plus: http://zone-7.net/v3/autres-textes/la-t ... pirituelle
http://www.doublecause.net/theorie.php?smenu=1